Uncharted
3 – Drake's Deception Dans
les années 90, Nathan Drake alors adolescent tente de dérober une bague et un
astrolabe ayant appartenu à Sir Francis Drake dans un musée à Carthagène des
Indes en Colombie. S'il parvient à récupérer la bague, l'astrolabe lui échappe,
récupéré quant à lui par une femme du nom de Katherine Marlowe. Cette dernière
tente de tuer Nathan pour récupérer la bague, mais celui-ci est sauvé par un
escroc professionnel alliée de Marlowe, Victor Sullivan : ce dernier propose
alors à Nathan une alliance en lui proposant de lui enseigner tout ce qu'il
sait pour qu'il apprenne à faire face au danger, ce que Nathan accepte. En
2011, Nathan et Sully ont rendez-vous dans un bar avec un dénommé Talbot pour
vendre la bague contre une forte somme. Talbot tente de les doubler et le duo
se défend tant bien que mal mais se font vite maîtriser par ses hommes, Talbot
travaillant en fait pour Marlowe. Charlie Cutter, ami et partenaire du duo, se
faisant passer pour un des leurs, simule leur mort et les trois hommes sont
rejoints par Chloé Frazer. Ils parviennent à pister leurs ennemis jusqu'à un
sanctuaire secret se trouvant sous les anciens tunnels du métro anglais
abandonné. Marlowe constate que la bague est un leurre, une copie de
l'originale, et réalise que Nathan les a doublés. Après son départ, le groupe
découvre que Marlowe appartient à un ordre britannique secret fondé il y a près
de 300 ans et ayant pour objectif de mettre la main sur des reliques
insoupçonnés afin de contrôler l'Angleterre.
Uncharted 3 – Drake's Deception Éditeur
:Sony
Computer Entertainment Développeur
:Naughty
Dog Concepteur
: Amy
Hennig Musique
: Greg
Edmonson Date
de sortie : 28 octobre 2011 Pays
d’origine : Etats-Unis Genre
: Action-aventure,
Plate-forme Mode
de jeu : Solo, Multijoueur en ligne (12 joueurs) Média : Blu-Ray Contrôle : Manette Plate-forme
:PS3
Mon avis : Après vous avoir proposé la critique du premier volet de Uncharted,
qui fut, selon moi, une des meilleures franchises vidéoludiques de la décennie
écoulée puis, surtout, après avoir aborder le cas de ce qui fut, sans aucun
doute, le jeu qui me marqua le plus sur la PS3, je veux, bien
entendu, parler du second volet, Among
Thieves, il est temps, à présent, d’aborder le cas du troisième volet
de la saga, je veux, bien entendu, parler de Drake’s Deception. Pour
rappel, le second volet, que l’on ne présente plus, fortement inspiré de titres
comme Tomb Raider mais
bourré également de multiples références cinématographiques, Indiana
Jones étant la plus évidente, avait, selon moi, atteint le firmament
vidéoludique. Du coup, quand on atteint un tel niveau de perfection, le danger
qui se pose lorsque l’on a affaire à une suite, c’est que cette dernière ne
soit pas à la hauteur de nos espérances car bon, comme chacun sait, il est
toujours difficile de ne pas décevoir les fans et, ma foi, force est de
constater que sans que ce Drake’s Deception soit un mauvais
jeu puisque prétendre une telle chose serait tout bonnement mentir, nous sommes
tout de même loin de l’excellence de son prédécesseur. Mais commençons par les
points positifs et ils sont, fort heureusement, nombreux : déjà, nous
sommes dans un Uncharted et rien que pour cela, ce troisième
volet ne peut être un mauvais jeu, les habitués de la série seront en terrain
familier et apprécieront de retrouver des personnages désormais familiers ainsi
qu’un système de jeu qui fut encore amélioré – oui, Nate ne saute plus de façon
étrange désormais et qui plus est, toutes les phases de plate forme et de
gunfight sont moins hard qu’auparavant. De même, il faut reconnaitre que
ce Drake’s Deception est magnifique d’un point de vu graphique :
certes, la aussi, au vu du volet précédant, ce n’est pas une surprise mais
comme il faut rendre a César ce qui lui appartient, reconnaissons que ce soft
est sans nul doute l’un des plus beau sorti sur PS3. Bien entendu,
on passera rapidement sur le scénario, plutôt banal, qui ne sera prétexte qu’a
faire voyager Nate et ses compagnons des rues de Londres jusqu’à l’Atlantide
des sables en passant par la France et la Syrie pour aborder les choses qui
fâchent, les défauts ! Premièrement, et a ma grande stupéfaction,
cet Uncharted 3 est court, bien plus court que le second volet
où l’on voyait vraiment du pays. Ensuite, il manque un souffle épique à
l’intrigue et si on doit toujours le comparer à son prédécesseur, il faut
reconnaitre que l’on a parfois l’impression d’avancer bêtement tout en
échappant à des pièges et en tuant des hordes d’ennemis. Alors certes,
nombreuses sont les scènes marquantes et spectaculaires (je pense au passage
dans l’avion, la poursuite a cheval) mais la aussi, si on se souvient de Among
Thieves, dans ce dernier, elles étaient bien plus marquantes – pour rappel,
celle du train, de la poursuite en camion, etc. Bref, tout un tas de détails
assez gênants qui ne sont certes pas catastrophiques (surtout pour celui qui
débuterait la saga par ce volet) mais qui donnent un arrière gout de déception,
surtout quand on se dit qu’il y avait matière à faire bien mieux. Mais bon,
j’ai surement l’air de cracher dans la soupe et c’est probablement le
cas : j’avais tellement aimer le second volet de Uncharted que
je m’attendais véritablement a quelque chose d’aussi grandiose pour ce
troisième opus, finalement, a la place, Drake’s Deception ne
fut qu’un bon, un très bon jeu, mais pas le chef d’œuvre absolu auquel les fans
étaient en droit d’attendre…
Points Positifs : - Le plaisir de retrouver Nathan Drake dans
une nouvelle aventure : Uncharted est sans nul doute
l’une des licences les plus réussies de la PS3 et à chaque
fois, nous avons droit à un excellent jeu, celui-ci ne dérogeant pas à la
règle. - Il y a encore eu des améliorations vis-à-vis du
volet précédant : pour les graphismes, bien sur, encore plus magnifiques
(ah, la partie dans le sable, les effets de lumière dans les bois, la cité
perdue, a la fin…), mais aussi pour la jouabilité du soft où évoluer avec Nate
est devenu un véritable plaisir. - Sur ce point, Nathan ne saute plus comme un
demeuré et mine de rien, c’est une bonne nouvelle ! - Si l’on a toujours affaire a des hordes
d’ennemis, force est de constater que ceux-ci sont tout de même moins nombreux
que dans le volet précédant, du coup, le sentiment de frustration qui pouvait
survenir auparavant n’est plus au rendez vous. - L’impression, positive, de jouer à un véritable
film interactif qui reprend tous les éléments du genre
action/aventure/exploration ; de plus, on ne note pas de différences entre
les cinématiques et les phases de jeu et cela aussi est fort appréciable. - L’humour propre a la saga est une fois de plus au
rendez vous, de plus, il arrive toutes les catastrophes du monde a Nate et ce
coté Pierre Richard assumé n’est pas désagréable selon moi. - On a même droit à quelques petits passages
oniriques du plus bel effet… Points Négatifs : - Hélas, ce troisième volet de Uncharted est
court, beaucoup trop court surtout si on doit le comparer avec son
prédécesseur. - Du coup, l’aventure est plus condensée, on passe
de pays en pays sans le coté aventure de la chose et scénaristiquement, bah,
c’est un peu en-dessous de ce a quoi je m’attendais… Idem pour certaines scènes
spectaculaires comme la poursuite a cheval, le passage dans l’avion qui se
crache mais qui sont tellement rapides – et quand on se souvient de Among
Thieves et de la scène du train, interminable, comment ne pas avoir de
regrets !? - Les compagnons de Nate vont et viennent mais
l’interaction de ces derniers est moins réussie que dans le volet précédant. - Par contre, qu’est ce qu’ils sont cons nos alliés
dans les phases de gunfight ! - Quand j’ai découvert la cité d’Iram, je me suis
dit que j’allais me régaler à la parcourir… bah en fait, pas tant que ça,
d’ailleurs, les deux derniers niveaux furent un peu décevant. - Et je ne parle pas du combat final contre Talbot
tellement frustrant… Ma note :8/10
Uncharted
2 – Among Thieves Le
chasseur de trésors Nathan Drake tente de percer le mystère entourant la flotte
perdue de l'explorateur Marco Polo, disparue lors de son retour de Chine en
1292. L'aventurier se rend dans l'Himalaya, sur la piste du royaume de
Shambhala qui abriterait selon la mythologie bouddhiste la pierre sacrée de
Chintamani, un joyau d'une valeur inestimable autrefois propriété de l'empereur
de Chine Kubilaï Khan. Mais un criminel de guerre recherché, Zoran Lazarevic,
convoite également le précieux trésor et déploie des moyens considérables pour
s'en emparer. Dans ses aventures mouvementées à travers l'Asie, Nathan est
accompagné par Victor Sullivan et Elena Fisher, complices de ses précédentes
péripéties dans le Pacifique, et Chloé Frazer, une archéologue australienne qui
n'a pas froid aux yeux...
Uncharted 2 – Among Thieves Éditeur
:Sony
Computer Entertainment Développeur
:Naughty
Dog Concepteur
: Amy
Hennig
Musique : Greg Edmonson Date
de sortie : 14 octobre 2009 Pays
d’origine : Etats-Unis Genre
: Action-aventure,
Plate-forme Mode
de jeu : Solo, Multijoueur en ligne (10 joueurs) Média : Blu-Ray Contrôle : Manette Plate-forme
:PlayStation
3
Mon
avis : Pour la petite histoire, lorsque, après
quelques années d’attente, je m’étais finalement procurer une PS3,
celle-ci était vendue avec deux jeux : Gran Turismo 5 et
un certain Uncharted 2 – Among Thieves, un soft que je connaissais
vaguement pour en avoir entendu le plus grand bien depuis quelques années. Pourtant,
il m’aura fallu bien du temps avant de me décider à voir par moi-même ce que
valait ce second opus d’Uncharted, ce descendant masculin des aventures
d’une certaine Lara Croft, mais en version un poil plus musclée et moins
acrobatique puisque, ici, l’action prenait le pas sur les habituels énigmes et
plateformes a la Tomb Raider.
Et si, au départ, je dois reconnaitre que j’ai eu un peu de mal à entrer dans
le jeu, trouvant que cela tirait un peu trop dans tous les sens à mon gout, au
bout d’un moment, j’ai fait fit de la chose, finissant même par apprécier le
concept et m’étais lancer à corps perdu dans un grand, que dis-je, un très
grand moment vidéoludique. En effet, après coup, comment ne pas reconnaitre,
humblement, que nous nous trouvons, ici, devant un superbe jeu, que dis-je, presque
un chef d’œuvre ? Oh certes, on peut toujours chipoter ici ou là, trouver
à redire sur tel ou tel point de détail, cependant, en toute sincérité,
comment, en jouant à cet Uncharted 2 – Among Thieves, ne pas
reconnaitre qu’avec ce soft, Sony, par le biais de Naughty
Dog, et après un premier
volet sympathique mais encore loin d’être perfectible, avait frapper
très fort, offrant, sans la moindre discussion possible, l’un des plus grands
jeux de la PS3, voir même, sans exagération aucune, l’un des tous
meilleurs toutes consoles confondus de ces dernières années. Captivant,
prenant, doté de graphismes tout simplement somptueux pour l’époque, avec un
héros, Nathan Drake, qui, décidément, en prend plein la gueule, ce second opus
d’Uncharted s’avéra être, tout simplement, comme étant une pure
réussite et, naturellement, confirma tout le bien que l’on pouvait penser d’une
franchise qui, au fil des ans, allait prendre de plus en plus d’importance…
Points
Positifs : -
Si le premier Uncharted s’était avéré
être un bon jeu, Uncharted 2 – Among Thieves, lui, est nettement
supérieur et confirme non seulement toutes les bonnes choses que l’on avait
découvert dans le premier volet, ce, tout en les sublimant de fort belle manière. - Des
graphismes que l’on peut qualifier de tout bonnement somptueux pour
l’époque : tant dans les détails, les décors, les jeux de lumières, les
couleurs, c’est une pure merveille ! -
Une jouabilité sans fausses notes : Nathan Drake est simple à prendre en
main et ses mouvements sont fluides et précis. Un effort a été fait sur les
phases de plateformes, plutôt simples en soit même s’il est toujours possible
de faire une chute mortelle, bien entendu. -
Au départ, on se dit que l’intégralité du casting est caricaturale au possible
et possède un charisme digne de celui d’une huitre, et puis, petit à petit, on
se prend au jeu et on s’attache à Drake, Chloé et compagnie. -
Un scénario digne d’un film d’action hollywoodien, captivant au possible, et
pourtant, à la base, je ne suis pas vraiment fan du genre mais là, j’ai
accroché. -
L’impression de jouer à un vrai film, par moments, on ne sait même pas si c’est
une cinématique ou si l’on joue. -
Quelques scènes d’anthologie, surtout au cours de certains gun-flight
hallucinants sans oublier le passage du train ! Points
Négatifs : -
La partie action prend trop le dessus sur la réflexion à mes yeux, après, c’est
probablement une affaire de gouts personnels. -
Le combat final, énervant au possible et pas à la hauteur du reste du soft,
idem pour Lazarevic, comme grand méchant, on a déjà connu mieux. -
Mine de rien, Drake a une drôle de façon de sauter, vous ne trouvez pas ?! Ma
note :8,5/10
Uncharted
– Drake's Fortune Nathan
Drake est un chasseur de trésor qui parcourt le globe à la recherche de
reliques et autres objets de valeur. Ce dernier est persuadé d'être le
descendant de l'illustre corsaire et explorateur Francis Drake disparu dans de
mystérieuses conditions après avoir amassé de nombreux trésors. Accompagné de
son compère, Victor Sullivan, et d'une réalisatrice de documentaires, Elena
Fisher, le héros tente de dévoiler les secrets entourant le destin de son
supposé ancêtre dans un périple qui le mènera en Amazonie puis sur une petite
île du Pacifique sur les traces de l'El Dorado, « L'homme doré ».
Mais il découvre qu'il n'est pas le seul à le chercher, une organisation de
chercheurs d'artéfacts (à sa tête Gabriel Roman et son bras droit Attoq
Navarro) le recherche également. Nathan Drake découvre également qu'une
malédiction plane sur le trésor perdu.
Uncharted – Drake's Fortune Éditeur
:Sony
Computer Entertainment Développeur
:Naughty
Dog Concepteur
: Amy
Hennig Musique
: Greg
Edmonson Date
de sortie : 19 novembre 2007 Pays
d’origine : Etats-Unis Genre
: Action-aventure,
Plate-forme Mode
de jeu : Solo Média : Blu-Ray Contrôle : Manette Plate-forme
:PS3
Mon
avis : Une semaine, tout juste, et encore, sans y jouer
tous les jours, une semaine donc, c’est le temps qu’il m’aura fallut pour venir
a bout du premier volet des aventures de Nathan Drake, le héros du fameux Uncharted
– Drake's Fortune, le premier volet d’une toute nouvelle franchise qui, il
faut le rappeler, lors de sa sortie, en 2007, fit énormément parler d’elle. Un
soft, donc, plutôt jouissif et plaisant, qui ne cachait nullement sont
inspiration du coté de Tomb Raider,
sauf que, a la place de la célèbre Lara Croft, nous avions doit à un certain
Nathan Drake, héros pour le moins maladroit, plutôt casse cou mais, il faut le
reconnaitre, assez attachant dans l'ensemble. Autre inspiration majeure de la saga Uncharted, bien entendu, ces fameux
nombreux films d’aventures que l’on peut qualifier, faute de mieux, de série B
et dont le grand public est plutôt fan. Sauf que, ce genre, que je n’apprécie
guère sur grand écran, ici, je dois reconnaitre que cela fonctionne plutôt bien
et le résultat, s’il était encore perfectible dans ce premier volet – la suite
sera nettement plus aboutie – n’en restait pas moins comme étant suffisamment
réussi pour que l’on passe un bon moment, ce qui, ma foi, était le principal.
Ainsi, dans ce premier volet, on retrouvait tous les éléments qui feront le
succès de la saga comme l’aventure, le coté exploration, les phases de combat,
les personnages et un certain humour, sans oublier, bien entendu, un scénario
pour le moins conventionnel pour ne pas dire faiblard même si l’on peut dire que
c’est le genre qui voulait cela. Pour le reste, avec ce Drake’s Fortune,
il est clair que le joueur ne pouvait que passer un bon moment et que, pour un
premier volet d’une série devenue culte sur PS3 puis, quelques
années plus tard, sur PS4, la barre était déjà placée assez haut,
ce, même si la suite sera nettement mieux maitrisée et bien plus intéressante,
mais bon, ceci est déjà une autre histoire…
Points
Positifs : - Dans
ce premier volet de Uncharted, on a déjà droit a tout ce qui fera
le succès de la saga au fil des divers épisodes sorties sur la Playstation
3, c’est-à-dire : le coté assumé du pompage sur les films d’aventure,
un héros loin d’être infaillible et souvent maladroit, le coté explorations de
civilisations disparues et de trésors, les phases de plate formes, celles de
gunfight, et, bien entendu, un humour omniprésent. -
Essayons de nous remettre dans le contexte de l’époque, c’est-à-dire, fin 2007,
et oublions les volets sorties depuis : oui, si on y parvient, il me
parait évidant que du point de vu des graphismes, ce premier volet de Uncharted plaçait
déjà la barre plutôt haut. -
Certes, le scénario est un peu faiblard mais bon, quelque part, c’est le genre
qui veut cela… -
Certains passages un peu originaux comme la course poursuite en jeep où il faut
tirer sur ses poursuivants et les deux niveaux où l’on se ballade en jet-ski. Points
Négatifs : - Pour
ce qui est de la durée de vie, ce n’est pas très long, loin de là…
c’est-à-dire, environ huit heures en mode normal. Mouais, c’est court, très
court… -
Hélas, ici, Nathan ne voyage pas encore autour du monde et il va falloir se
contenter de visiter une ile des Caraïbes de fond en combles. -
Certains passages de gunfight sont un peu pénibles par moments, surtout quand
ils se succèdent les uns aux autres : par moment, on a l’impression de
faire que cela !? -
Forcément, si vous vous lancez dans ce premier volet, comme moi, après avoir
joué aux deux autres, les graphismes ne pourront que vous choquer un peu par
moments et oui, beaucoup de progrès furent accomplis par la suite. -
Un peu bof la fin et comme boss final, on a déjà connu mieux… Une constance
dans la saga ? Ma
note :7,5/10
Indiana
Jones et le Royaume du Crane de Cristal Nevada,
1957. En pleine guerre froide, le professeur Henry « Indiana » Jones
et son collègue Mac sont capturés par des militaires soviétiques et transportés
de force dans la Zone 51, laquelle contient un hangar où sont entreposés des
milliers de caisses. Sous la menace, Indiana aide les Soviétiques à s'emparer
de l'une d'elles, qui a la particularité d'être magnétisée. En l'ouvrant, les
Soviétiques découvrent le corps d'un être difforme. Trahi par Mac qui rejoint
l'ennemi, Jones parvient à s'échapper et s'enfuit dans le désert, poursuivi par
les sbires du colonel-docteur Irina Spalko. Une fois tiré d'affaire, Jones doit
faire face à des agents du FBI le suspectant de se livrer à des activités
illégales et de trahison envers les États-Unis. Fuyant l’Amérique pour
enseigner à Leipzig, Jones fait la connaissance à la gare de New York d'un
jeune motard, Mutt Williams, qui lui fait part de la disparition du professeur
Oxley, enlevé par des agents soviétiques en Amérique du Sud alors qu'il
recherchait un crâne de cristal, une relique légendaire…
Indiana Jones et le Royaume du Crane de Cristal Réalisation : Steven
Spielberg Scénario : David
Koepp, George Lucas, Jeff Nathanson Musique : John
Williams Production :Paramount
Pictures et Lucasfilm Ltd. Genre : Aventure,
Fantastique Titre
en vo :Indiana Jones and the Kingdom
of the Crystal Skull Pays
d'origine : États-Unis Langue
d'origine : anglais, russe, allemand Date
de sortie : 22 mai 2008 Durée : 123
mn Casting
: Harrison
Ford : Dr Henry Walton « Indiana » Jones
Jr Shia
LaBeouf : Henry « Mutt » Williams Karen
Allen : Marion Ravenwood Cate
Blanchett : Colonel-Professeur Irina Spalko John
Hurt : Pr Harold Oxley Ray
Winstone : George « Mac » MacHale Jim
Broadbent : Doyen Charles Stanforth Igor
Jijikine : Colonel Antonin Dovchenko Alan
Dale : Général Robert Ross Joel
Stoffer : Agent Taylor Neil
Flynn : Agent Paul Smith Dimitri
Diatchenko : un agent du KGB Ilya
Volok : un agent du KGB Emmanuel
Todorov : Lincoln, un soldat russe Pasha
D. Lychnikoff : Roosevelt, un soldat russe Andrew
Divoff : Grant, un soldat russe Veniamin
Manzyuk : Jefferson, un soldat russe V.
J. Foster : le pasteur Chet
Hanks : l'étudiant dans la librairie Sasha
Spielberg : la fille cognant Mutt au bar Nito
Larioza : un guerrier du cimetière Ernie
Reyes : un guerrier du cimetière Robert
Baker : Jimmy Wycroft, le sergent de la police
militaire Jon
Braver : Franklin, un soldat russe John
Dixon : Hoover, un soldat russe Gleb
Kaminer : le chauffeur de Spalko Sean
Connery : Dr Henry Walton Jones Sr Denholm
Elliott : Marcus Brody Kate
Capshaw : Wilhelmina « Willie » Scott
Mon
avis : Force est de constater que, avec Indiana
Jones et le Royaume du Crane de Cristal, nous abordons à présent le cas le
plus problématique (si l'on met de coté le cinquième volet de la saga que je
n'ai pas encore vu) de ce qui restera comme étant une des figures les plus
emblématiques du Septième Art de ces quatre dernières décennies, je veux, bien
entendu, parler de Indiana Jones. Il faut dire que, d’entrée de jeu, l’annonce
de la sortie d’un nouveau volet, en 2008, provoqua une certaine onde de choc
parmi les nombreux fans de l’aventurier au fouet. Véritable hérésie qui ne
pouvait qu’être une simple pompe a fric, un Harrisson Ford bien trop vieux pour
être crédible, des russes comme grands méchants à la place des nazis et,
histoire d’enfoncer le clou, des extraterrestres ! Oui, avant même la
sortie de ce film, les jeux étaient faits ! Il faut dire que, quelque
part, Indiana Jones est un mythe moderne comme peuvent l’être, par
exemple, Robin des Bois, Zorro ou Batman, un personnage
entré tout droit dans l'imaginaire collectif, qui fait l’unanimité auprès de
tous, un héros, un vrai et dans le sens le plus noble du terme ! Et, comme
chacun sait, les gens n’aiment pas que l'on touche à leurs idoles. Les trois
premiers films de cette saga, on ne va pas se mentir, auraient put se suffire a
eux mêmes, cette trilogie, ainsi constituée était parfaite et une suite n'était
pas, a priori nécessaire. Pourtant, elle était très attendue, et
personnellement, je faisais parti de ceux qui rêvaient depuis des années d'un
éventuel quatrième film, surtout que la rumeur courrait depuis longtemps.
Alors, en apprenant que ce quatrième opus était en tournage, qu'elle ne fut pas
ma joie à l'idée de retrouver un personnage qui avait bercé et émerveiller ma
jeunesse, ce, même si je ne me faisais pas de grandes illusions quand a la
qualité de ce film et que je me doutais bien que celui-ci ne serait pas aussi
bon que ses prédécesseurs. Et puis, lorsque, finalement, Indiana Jones
et le Royaume du Crane de Cristal paru sur grand écran, ce fut un
véritable déferlement de haine parmi les fans et les critiques qui
n’épargnèrent guère ce film. A tord ou a raison ? Eh bien, disons que,
pour ma part, je suis un peu plus partagé. Disons que, contrairement a
beaucoup de personnes, je n’ai pas détesté cet Indiana Jones et le
Royaume du Crane de Cristal, loin de là. Tout commence dans le désert du
Nevada, l'on suit une colonne de véhicules militaires avant que n’apparaisse
une voiture tout droit sortie d'American Graffiti de Georges
Lucas, histoire de bien nous faire comprendre que l'on a définitivement quitté
les années 30, décor habituel de la saga jusque la. Quelques coups de feux plus
tard, un corps est jeté sur le sol, un chapeau mythique roule, quelqu'un le
ramasse et s'en coiffe et cela suffit à nous propulser une vingtaine d'années
en arrière et c'est tout un mythe qui se remet en marche. Cette fois ci, plus
de Nazis comme grands méchants mais des Soviétiques, ce qui est
logique vu l’époque ou se déroule l’intrigue. Certains l'on regretté;
personnellement, vu qu'Harison Ford a vieillit entre temps, il aurait été
problématique de cantonner le personnage d’Indy aux années 30. Et tout de
suite, on rentre dans le bain avec une petite et mouvementée visite dans un
hangar qui rappellera de très bons souvenirs à ceux qui ont vu Les
Aventuriers de l'Arche Perdue, la mystérieuse Zone 51. Et a partir de
la, tout s'enchaine et l'on s'aperçoit avec plaisir qu'Harison Ford, malgré son
âge, possède de beaux restes : courses poursuites, clins d'œil aux anciens
films, retour de Marion qui est a mon avis la plus
crédible copine d'Indy, vieux temples a explorer, légendes nébuleuses
qui s'avèrent être vrai, même humour décalé, affrontement contre un gros dur
et, car un Indiana Jones ne serait pas égal lui-même :
invulnérabilité du personnage, chance inouïe etc. A ce sujet, nombreux ont été
ceux qui ont critiqué l'une des scènes les plus absurdes du film, celle ou
Indy, pour échapper a une explosion nucléaire se cache dans un frigo et en sort
indemne. J’avoue que, personnellement, celle ci m'a gênée aussi. Mais, en
repensant aux films précédents, je me suis dit que, dans le fond, elle était à
peine plus invraisemblable que le saut en canot pneumatique d'un avion dans le
deuxième opus, Indiana
Jones et le Temple Maudit. Il est clair que lorsque l'on regarde
un Indy, faut pas trop chercher les vraisemblances; ce type est et
restera l'homme le plus chanceux que la Terre ait portée, faut croire que rien
ne peut lui arriver. Cependant, si nombreux on été ceux qui on critiquer ceci
ou cela dans le film, peux ont pu remarquer que Steven Spielberg, malgré que
son œuvre est avant tout un formidable divertissement, nous a distillé ca et la
quelques petites piques sur son pays, profitant de l'époque ou se déroule
l'action, la Guerre Froide, pour dénoncer la crainte du nucléaire :
revoyez donc la scène ou Indy se retrouve dans une ville avec des mannequins en
cire qui servent de test et ou un haut parleur ordonne aux habitants de
détourner le regard afin de se protégés de l' explosion, ce qui est léger, mais
véridique ! Mais également le Maccarthysme qui frappa tant de citoyens
américains. Et c'est a ce moment, où Indy, suspecté d'être un rouge,
s'apprête a quitter le pays, apparait celui qui s'avérera être son fiston, un
mélange entre James Dean et Marlon Brando, symbole parfait de la jeunesse des
fifties que l'on a pu voir et revoir un nombre incalculable de fois dans une
bonne centaines de films et de séries. Et c'est fou que, même si dans le fond,
ce personnage n’a rien d’original puisqu' il n’est que l’avatar du «
jeune rebelle à moto qui passe sa vie à se coiffer », ce que le fiston
colle bien au film. Ainsi, après avoir eu affaire a son père dans La
Dernière Croisade, voila qu'Indy se trouve une progéniture et les liens
entre eux, sans être transcendants sont assez amusants. Et, avant d'en finir,
on en vient a l’une des plus grosses critiques de ce film : la présence des
Extraterrestres. Hérésie absolue crient certains ! Brulons Spielberg et Lucas !
Bon, comment dire ? Tout d'abord, je pense à mon humble avis que la présence de
Jar Jar dans La
Menace Fantôme est infiniment plus regrettable et nuit d'avantage a
l'intégrité de ce film et a son sérieux. Ici, il faut se souvenir que nous
sommes dans les années 50, que Roswell est passé par la et le
terme soucoupe volanteest d’actualité depuis une poigné
d’années. En quelques sortes, ceux ci font partie intégrante du mythe
américain de l’époque. Et pour ce qui est des autres épisodes de la saga,
le surnaturel et le mystère n'ont jamais été bien loin avec le Saint Graal ou
l'Arche d'Alliance. Et quand je pense au gus qui arrachait les cœurs de ses
victimes à main nue dans Le Temple Maudit, je ne vois pas pourquoi
les vieux films seraient plus crédibles que celui-ci ? Non, pour moi,
la présence des Extraterrestres ne m’a pas choqué, pour les raisons évoqués
plus haut mais également peut être parce que je suis habitué et que je connais
toutes ces histoires de paléocontact, de dieux venus du ciel apportant la
connaissance aux hommes etc. Et qu'étaient venu faire ces fameux aliens sur
notre bonne vieille planète ? Etudier, chercher des reliques, des objets du
monde entier : comme le dit Indy dans le film, c’était des archéologues.
Au final, il apparait que sans être un grand film ni même un grand Indiana
Jones, ce quatrième volet de la saga n’est pas aussi mauvais que certains
l’ont trop rapidement prétendu. Certes, ont peut toujours lui trouver bien des
défauts voir reconnaitre que certaines scènes sont ridicules comme celle où le
fiston se balance de liane en liane et qui est digne des plus grands nanards,
cependant, après tant d’années d’attente, comment ne pas reconnaitre que ce fut
tout de même avec un plaisir certains que l’on a retrouver notre aventurier
préféré, certes plus agé mais toujours aussi charismatique !? Indiana
Jones a vieillit, cependant, il n’en reste pas moins immortel, d’ailleurs, nous
n’en n’avons pas tout a fait finit avec lui puisqu’un cinquième volet est
prévu ! De quoi réveiller les critiques ? Sans nul doute mais ceci
est, naturellement, une autre histoire…
Points
Positifs : -
Le plaisir pour les vieux fans de la saga de retrouver leur aventurier préféré
qui, malgré le poids des âges, est toujours aussi charismatique et ce, dans une
aventure qui n’est peut-être pas aussi bonne que dans les films précédents mais
qui n’en reste pas moins suffisamment réussie pour nous faire passer un bon
moment. -
Naturellement, Harrisson Ford a vieillit et commence à accuser son âge,
cependant, il n’en reste pas moins toujours crédible dans ce qui est, sans nul
doute, son rôle le plus culte. -
Un casting a la hauteur et qui fait parfaitement le job, qui plus est, on
retrouve avec plaisir de vieilles connaissances. -
Après le père dans Indiana Jones et la Dernière Croisade, c’est au
tour du fils et, ma foi, si l’idée n’est pas la plus originale, force est de
constater qu’elle n’en reste pas moins efficace. -
Marion est naturellement la copine la plus crédible pour notre héros et c’est
plutôt une bonne idée de l’avoir fait revenir dans la saga. -
L’idée des extraterrestres ne m’a nullement choqué vu que la saga a toujours
baigné dans le fantastique et le paranormal. -
Exit les nazis, place aux soviétiques, ce qui est logique vu l’époque où à lieu
l’histoire. Points
Négatifs : - Bien
entendu, Indiana Jones et le Royaume du Crane de Cristal est
le volet le moins aboutit de la saga jusqu’à ce jour puisqu’un cinquième film
est prévu. Sympathique mais loin de marquer les esprits, bien au contraire. -
Probablement que ce film est sortit trop tard vis-à-vis des autres volets de la
saga. -
Je n’ai rien contre le fils et d’ailleurs Shia LaBeouf fait plutôt le job,
cependant, comment ne pas reconnaitre qu’on nous a pondu, avec lui, une
véritable caricature du petit rebelle des années 50 !? -
Quelques scènes sont tout de même problématiques et nuisent grandement au film,
la principale étant, bien entendu, celle où le fiston saute de lianes en
lianes… Ma
note : 7/10
Indiana
Jones et la Dernière Croisade Utah,
1912. Le jeune Indiana Jones fait partie d'une troupe de scouts quand il
surprend des pilleurs de tombes dans une grotte. Il leur dérobe un objet
précieux, la croix de Coronado, et leur échappe après une longue poursuite mais
il se voit contraint de la leur restituer un peu plus tard. Côtes portugaises,
1938. Indiana Jones récupère in extremis la croix de Coronado qui lui a
échappée 26 ans plus tôt, et rentre aux États-Unis. Dans un monde à la veille
de la Seconde Guerre mondiale, les Nazis se lancent en quête du Saint Graal.
Face à eux, un éminent médiéviste, Henry Jones, qui poursuit la quête de sa vie
à la recherche de cet objet légendaire. Quand son père disparaît à Venise,
Indiana Jones, renseigné par Walter Donovan, se lance sur ses traces pour le
retrouver après avoir reçu le journal de la quête de son père. Il rencontre à
Venise une charmante archéologue autrichienne, Elsa Schneider, qui collaborait
avec son père avant sa disparition. Tous les deux découvrent sous une
bibliothèque des catacombes inexplorées des chevaliers du Graal et une tombe
avec une inscription donnant des indices sur l'emplacement du Graal.
Indiana Jones et la Dernière Croisade Réalisation : Steven
Spielberg Scénario : Jeffrey
Boam, George Lucas, Menno Meyjes Musique : John
Williams Production :Paramount
Pictures et Lucasfilm Ltd. Genre : Aventure,
Fantastique Titre
en vo :Indiana Jones and the Last
Crusade Pays
d'origine : États-Unis Langue
d'origine : anglais, allemand Date
de sortie : 24 mai 1989 Durée : 127
mn Casting
: Harrison
Ford : Indiana Jones Sean
Connery : Pr. Henry Jones Sr. Denholm
Elliott : Dr. Marcus Brody Alison
Doody : Pr. Elsa Schneider John
Rhys-Davies : Sallah Julian
Glover : Walter Donovan River
Phoenix : Indiana Jones adolescent Michael
Byrne : colonel Ernst Vogel Kevork
Malikyan : Kazim Robert
Eddison : le chevalier du Graal Richard
Young : le pilleur de tombes au fedora Alexei
Sayle : le Sultan Alex
Hyde-White : Henry Jones Sr. Jeune Paul
Maxwell : l'homme au panama Isla
Blair : Mrs. Donovan Vernon
Dobtcheff : le majordome Bradley
Gregg : Roscoe, un pilleur Pat
Roach : un homme de la Gestapo Eugene
Lipinski : un homme de main de Donovan Ronald
Lacey : Heinrich Himmler Michael
Sheard : Adolf Hitler
Mon
avis : Troisième volet de ce qui est bel et
bien l’une des plus grandes sagas de l'histoire du Septième Art, Indiana
Jones et la Dernière Croisade fut, pendant bien longtemps, le dernier
film de la série. C’était, bien entendu, avant qu’en 2008 ne paraisse sur les
écrans le si décrié par les fans et la critique Indiana Jones et le
Royaume du Crane de Cristal. Cependant, aux yeux d'une bonne partie du
public, les aventures de notre archéologue préféré se sont achevées à la toute
fin des années 80 avec ce volet qui, pour la petite histoire, est l’un des tous
meilleurs de la saga. Ainsi, après le spectaculaire Indiana
Jones et le Temple Maudit qui reste malgré tout comme étant un
très bon film, avec cette Dernière Croisade, Lucas et Spielberg
renouent avec tout ce qui avait fait la force du premier volet, Les
Aventuriers de l’Arche Perdue. En effet, dans ce troisième volet des
aventures du plus célèbre des explorateurs, on retrouve, sensiblement les mêmes
lieux pour ce qui est de l’aventure principal, on a droit au grand retour des Nazis
en tant qu’adversaires, mais aussi, nous avons droit a une nouvelle quête
archéologique a tendance Biblique, le Graal ayant remplacer l’Arche d’Alliance
et, pour finir, n’oublions pas le retour en grâce de certains protagonistes du
premier volet comme Marcus et Sallah, ce qui fait que, par la force des choses,
les deux films sont liés par le biais de tous ces points communs, ce qui
n’était bien entendu pas le cas avec Le Temple Maudit qui était un
peu à part. Cependant, là où Indiana Jones et la Dernière Croisade frappe
fort, c’est par l’ajout d’Henri Jones Sr, formidablement interprété par un Sean
Connery au sommet de sa forme, ce qui nous donne tout un tas de scènes plutôt
amusantes puisque la relation entre le père et le fils est pour le moins
conflictuelle. Un ajout oh combien positif, qui marque les esprits et qui
ajoute du piment a une intrigue digne de la saga dans son ensemble,
c’est-à-dire que dans le genre aventure, on a de toute façons rarement fait
mieux qu’un Indiana Jones. Bref, vous l’avez compris, Indiana
Jones et la Dernière Croisade concluait, lors de sa sortie, de fort
belle manière ce qui fut pendant longtemps une simple trilogie :
captivant, drôle, nous faisant voir du pays, ce film, en son temps, aura marqué
toute une génération de fans du personnage. Bien évidement, de façon plutôt
inattendue, il y eut une suite par la suite, forcément moins somptueuse, mais
bon, ceci est une autre histoire et comme en plus, ils ont l’idée de nous
pondre un cinquième volet qui paraitra d’ici quelques temps, vous vous doutez
bien que nous sommes loin d’en avoir finit avec Indiana Jones…
Points
Positifs : -
La présence de Sean Connery dans le rôle du père d’Indiana Jones est un pur
régal car non seulement l’acteur écossais, dans un rôle vieillissant, apporte
une touche de fraicheur au film, mais en plus, les relations entre les deux
hommes sont tellement complexes que cela en devient un régal. -
En s’inspirant énormément de tout ce qui avait fait le succès du premier
volet, Les Aventuriers de l’Arche Perdue, le duo Spielberg et Lucas
a vu juste car cela nous permet de retrouver l’ambiance du meilleur film de la
saga mais aussi, d’en faire une vrai suite – lieux, personnages, adversaires –
ce qui n’était pas le cas du Temple Maudit qui était en fait
une préquelle. -
Indiana Jones n’est jamais aussi bon que lorsqu’il se met en quête d’un
artefact Biblique – le Graal ayant remplacé l’Arche d’Alliance – et lorsqu’il
doit cogner du Nazi. -
Harrisson Ford possède tout de même une classe naturelle et ce rôle lui va si
bien… -
La scène du début, qui nous apprend comme le jeune Indiana est devenu ce qu’il
est. Intéressante, bien sur, mais aussi drôle. -
Venise, l’Autriche, l’Allemagne, Petra… on en voit du pays dans ce film ! Points
Négatifs : - Certains
regretteront quelques trop grandes ressemblances entre ce film et le premier
volet, c’est ce qui en fait sa force mais il est clair que certains points
communs sont un poil excessif. -
Ce film n’accuse absolument pas son age, sauf pour les scènes où il y a des
explosions, là, c’est à chaque fois problématique. Mais bon, c’est valable pour
tous les longs métrages de l’époque. -
On sait très bien qu’Indiana Jones possède une chance insolente – et dans un
jeu de rôle, il aurait le maximum en points de chance – mais bon, par moments,
c’est un peu exagéré. Ma
note : 8,5/10