jeudi 29 février 2024

Le Sacre de l'Homme


Le Sacre de l'Homme
 
Il y a 12000 ans, l’Homme prend un tournant décisif. Il sort de la préhistoire et pose les fondations des premières civilisations. Il se sédentarise et invente l’agriculture, l’élevage, le commerce, la roue, l’alliage des métaux, les religions, l’écriture, l’architecture… Sur son chemin, de nombreuses épreuves l’attendent : la propriété privée engendre les premières guerres, le bétail provoque des épidémies ravageuses, la surpopulation, des famines… Mais il continue inlassablement à bâtir la société qui est aujourd’hui la nôtre.
 

Le Sacre de l'Homme
Réalisation : Jacques Malaterre
Scénariste : Yves Coppens, Michel Fessler
Narrateur : Thierry Frémont
Production : uFilm, France 2
Genre : Documentaire
Titre en vo : Le Sacre de l'Homme
Pays d’origine : France
Chaîne d’origine : France 2
Diffusion d’origine : 10 avril 2007
Langue d'origine : Français
Durée : 105 mn
 
Casting :
Helmi Dridi : Aar / Ooki / Iké / Tobar
Rabeb Srairi : Ashaa / Kelee / Nomade
Philippe Kara-Mohamed : Sarki
Lotfi Dziri : Uhru
Mohamed Ali Nahdi : Oukou
Mohamed Grayaâ : Waka
Fatma Ben Saïdane : Aka
Lotfi Turki : Roi Sargon
Hamza Sdiri : Ourham
 
Mon avis :
 Après L’Odyssée de l’Espèce, paru en 2003, qui, pour rappel, nous narrait l'histoire évolutive de la lignée humaine puis Homo Sapiens, en 2005, qui, comme son nom l'indique, était consacré à l'émergence de notre espèce, en 2007 paru enfin le troisième volet de la trilogie du sieur Jacques Malaterre, Le Sacre de L’Homme. Un nouveau documentaire fiction à succès qui, cette fois ci, allait mettre en avant la révolution néolithique et l’émergence des premières civilisations, c’est-à-dire, dans les grandes lignes, qui allait s’intéresser de la partie qui va de la fin de la dernière période glaciaire, grosso modo, il y a 12000 ans, à l’apparition de l’écriture et donc, le début de l’Histoire, il y a, sensiblement, 5000 ans, dans le Croissant Fertile, en Mésopotamie. Au vu du postulat de départ de ce documentaire qui rejoignait mes propres gouts personnels, j’attendais donc, bien entendu, avec impatience Le Sacre de l’Homme et si, sans grande surprise, celui-ci est moins aboutit que son glorieux prédécesseur, L’Odyssée de l’Espèce qui avait pour lui d’être le premier volet de la saga et de s’intéresser à l’évolution humaine en nous montrant à l’écran nous premiers et lointains ancêtres, force est de constater que l’émergence des civilisations, ma foi, ce n’est pas rien ! Moins connu du grand public, moins attirant, probablement, mais, quoi qu’il en soit, franchement intéressant et, au vu du visionnage de ce documentaire, il apparait que, une fois de plus, nous avons affaire à une belle réussite ! Car bon, que l’on soit ou pas familier de ces milliers d’années qui auront vu nos ancêtres devenir sédentaires, domestiquer les animaux, découvrir l’agriculture, la métallurgie puis, au fil du temps et de la croissance des premiers hameaux qui sont devenus des villages puis d’imposantes cités états, l’apparition de religions complexes, des premières armées, des premières lois, de l’apparition d’une élite, de plus en plus puissante, mais aussi des premières guerres et des épidémies, comment ne pas être captiver par ce documentaire ?! Reconstitution de qualité au vu des connaissances de l’époque, parfaitement axé pour un public de néophytes, ce qui est toujours une bonne chose, Le Sacre de l’Homme, sans marquer autant les esprits que L’Odyssée de l’Espèce voir Homo Sapiens, n’en reste pas moins le complètement idéal d’une trilogie qui, ma foi, aura été une belle réussite et l’on peut, par ailleurs, regretter que plus de quinze ans plus tard, il n’y ait pas eu, à la télévision française, des documentaires aussi bon, comme si, finalement, eux aussi, étaient d’une autre époque…
 

Points Positifs
 :
- Dernier volet de la trilogie débutée en 2003 avec L’Odyssée de l’EspèceLe Sacre de l’Homme s’avère être, comme ses prédécesseurs, un documentaire de qualité qui revient d’une manière intéressante et pédagogue sur ce que furent les quelques milliers d’années qui auront vu l’espèce humaine devenir sédentaire avant que ne naissent les premières civilisations avec les premières cités états du Croissant Fertile, en Mésopotamie.
- Le coté instructif de la chose, qui est, il faut l’admettre, indéniable ! Ainsi, que vous soyez un spécialiste ou un néophyte, Le Sacre de l’Homme ne pourra que vous plaire.
- Il est bien entendu plus facile de s’identifier au sort des protagonistes qui apparaissent dans les diverses histoires présentées ici puisque ces derniers nous ressemblent, de par leur comportement, leur craintes, leurs amours. En tous cas, bien davantage qu’Homo Erectus ou Neandertal, naturellement !
 
Points Négatifs :
- Fatalement, ce troisième volet est moins spectaculaire que ses prédécesseurs qui avaient pour eux le fait qu’ils mettaient en avant nos lointains ancêtres. Qui plus est, l’effet de surprise ne fonctionne plus autant, ce qui est normal.
 
Ma note : 7,5/10

Homo Sapiens


Homo Sapiens
 
Il y a deux cent cinquante mille ans le premier représentant direct de notre espèce apparaît sur Terre, un certain Homo Sapiens. Ainsi de -400000 ans à -20000 ans avant JC, nous suivons le destin d'Homo Erectus, de Néandertal et de Sapiens et nous allons ainsi découvrir l'apparition du langage, de l'art, des cultes, de l'agriculture, de la domestication et de l'élevage, ce, pendant que nos ancêtres vont, petit a petit et au fil des millénaires, conquérir le monde entier…
 

Homo Sapiens
Réalisation : Jacques Malaterre, Chip Proser
Narrateur : Philippe Torreton
Production : France 3, Ballistic Pictures
Genre : Documentaire
Titre en vo : Homo Sapiens
Pays d’origine : France, Belgique, Suisse, Allemagne, Canada
Chaîne d’origine : France 3
Diffusion d’origine : 11 janvier 2005
Langue d'origine : Français
Durée : 88 mn
 
Mon avis :
 Comme on avait put le voir dans la critique précédente, en janvier 2003 était paru sur les écrans un documentaire qui connut alors un énorme succès dans nos contrées, je veux, bien évidement, parler de L’Odyssée de l’Espèce, œuvre du sieur Jacques Malaterre et qui, sous la caution scientifique du célèbre Yves Coppens, nous narrait, en quatre-vingt dix petites minutes, l’histoire de l’humanité depuis son plus lointain ancêtre alors connue, la fameuse Lucy, jusqu’à l’Homo Sapiens, c’est-à-dire, notre propre espèce. Le succès donnait souvent les mêmes idées a certains, L’Odyssée de l’Espèce eut donc la joie de connaitre une suite, assez rapidement d’ailleurs puisque, tout juste deux ans plus tard, un autre documentaire du même type était diffusé à une heure de grande écoute sur le service public, le fameux Homo Sapiens qui nous préoccupe a présent. Bon, comme son titre l’indique, celui-ci est presque uniquement consacré à nos ancêtres directs même s’il y a bien quelques apparitions éparses de Néandertal puisque les deux espèces humaines se sont fréquentées, et, fatalement, il est moins captivant que pouvait l’être son prédécesseur puisque celui-ci avait pour lui de nous présenter à l’écran des hominidés tellement anciens et variés que le spectateur ne pouvait qu’être intéressé parce qu’il le voyait à l’écran. En effet, malgré des effets spéciaux nettement datées désormais, L’Odyssée de l’Espèce avait pour lui la variété, chose qui n’est pas vraiment le cas dans Homo Sapiens où l’on suit, forcément, le destin de divers individus qui nous ressemblent trop pour vraiment nous émerveiller en dehors du fait qu’ils étaient vêtus de peaux de bêtes. Cependant, malgré ce constat, Homo Sapiens est un bon documentaire sur la Préhistoire et, ma foi, suivre nos ancêtres qui chassent les Mammouths, qui rencontrent Néandertal ou qui découvrent la navigation, ma foi, c’est plutôt intéressant. Alors bien sur, le succès fut nettement moindre mais, quelque part, cela était attendu quand aux amateurs de la Préhistoire, ces derniers y auront trouver leur compte et replongeront avec plaisir, deux ans plus tard, dans le troisième et dernier volet de la trilogie, Le Sacre de l’Homme, consacré, lui, à la naissance des civilisations, mais ceci, bien entendu, est déjà une autre histoire…
 

Points Positifs
 :
- Second volet de la trilogie de Jacques Malaterre consacré à l’histoire de l’humanité au cours de la Préhistoire, Homo Sapiens, consacré, comme son nom l’indique, a notre plus proche ancêtre, est une belle réussite qui ravira les amateurs du genre. Ainsi, même s’il est moins passionnant que L’Odyssée de l’Espèce et que l’effet de surprise ne fonctionne plus, il n’en reste pas moins un incontournable.
- Certes, seul les Homo Sapiens sont mis à l’honneur ici, cependant, la documentaire reste suffisamment intéressant pour nous tenir en haleine surtout que certains passages sont franchement réussis – la chasse aux Mammouths étant, selon moi, le point d’orgue de ce documentaire.
- Le coté instructif de la chose, qui est, il faut l’admettre, indéniable ! Ainsi, que vous soyez un spécialiste ou un néophyte, Homo Sapiens ne pourra que vous plaire.
 
Points Négatifs :
Homo Sapiens est un bon documentaire, certes, cependant, il souffre de la comparaison avec son prédécesseur qui nous présentait moult hominidés nettement plus spectaculaires car, finalement, bien plus éloignés de nous…
- Bien entendu, le temps ayant fait son œuvre : Homo Sapiens accuse fortement son age pour ce qui est des effets spéciaux.
 
Ma note : 7,5/10

L’Odyssée de l’Espèce


L’Odyssée de l’Espèce
 
Il y a dix millions d'années, en Afrique tropicale, parce que la forêt disparaît, quelques grands primates se lèvent et se mettent à marcher sur deux pieds. Face aux dangers de la savane, comme tous les êtres vivants, ils se défendent et s'adaptent. Leur cerveau grandit, leur conscience se développe. Ils inventent, ils s'organisent, ils parcourent la terre et les océans. Ils conquièrent le monde. Nous sommes leurs enfants. Que nous soyons bretons, chinois, indiens ou africains, que notre peau soit blanche, noire ou cuivrée… Nous descendons tous d'une seule lignée. Dix millions d'années, c'est plus de cinq cent mille générations. Inlassablement, nos aïeux ont transmis leur savoir à leurs enfants, pour qu'il arrive jusqu'à nous. Aujourd'hui, la part de ce savoir que l'on appelle science nous permet de remonter jusqu'à eux. De fouiller notre terre pour y trouver leurs traces, faire surgir notre passé… Et raconter ce que l'on sait de l'extraordinaire odyssée de notre grande famille.
 

L’Odyssée de l’Espèce
Réalisation : Jacques Malaterre
Narrateur : Charles Berling
Production : France 3, Transparences Productions, RTBF
Genre : Documentaire
Titre en vo : L’Odyssée de l’Espèce
Pays d’origine : France, Canada
Chaîne d’origine : France 3
Diffusion d’origine : 07 janvier 2003
Langue d'origine : Français
Durée : 90 mn
 
Mon avis :
 Tout commença il y a de cela deux décennies, lorsque, a une heure de grande écoute, une chaine du service public, France 3, pour ne pas la citer, diffusa ce qui fut alors présenter comme étant un documentaire exceptionnel, je veux, bien entendu, parler de L’Odyssée de l’Espèce. Celui-ci, donc, retraçait l’évolution humaine des tous premiers pas de nos plus anciens ancêtres qui, pour simplifier les choses, quittèrent les branches des arbres pour s’aventurer dans la savane il y a environ 7 a 6 millions d’années, jusqu'à l’Homo Sapiens, c'est-à-dire, nous-mêmes, en passant par l’Homo Habilis ou l’Homme de Neandertal, ce, tout au long de 90 minutes, le spectateur découvrait alors, de façon imagée, parfois théâtrale des instants de vie parmi les plus marquants de la longue, très longue histoire humaine, celle de nos ancêtres, de leurs évolution, de leurs découvertes, et de la propagation des connaissances. Bien évidement, exceptionnel, ce documentaire l’était bel et bien, ce, grâce à la volonté, pour ne pas dire, le courage de France 3 de le diffuser a une heure de très grande écoute et celui-ci se vit récompenser par la plus belle des manières a l’époque, c'est-à-dire, par un excellent audimat ce qui nous montre que lorsque la télé prend des risques, elle en est parfois récompensée. Et même si plus de deux décennies se sont écoulées depuis cette toute première diffusion, je garde encore en mémoire mes toutes premières impressions d’alors, forcement très bonnes, ainsi que les louanges des divers médias et du public en général. Oui, indéniablement, il y eut un avant et un après L’Odyssée de l’Espèce en France, ce qui est dommage, cependant, c’est que ce genre d’initiatives, rare à l’époque, soit devenu tout simplement quasiment impossible actuellement... Bien évidement, le temps a passé depuis et j’ai eu l’occasion, au fil des années de voir et revoir de multiples rediffusions de ce documentaire, soit dans sa version originale, soit par le biais du DVD rapidement acheter après sa première diffusion, soit celle comportant moult explications scientifiques, et se rapprochant de fait du documentaire tel que l’on est habituer d’ne voir sur nos petits écrans. Du coup, a force, je dois avouer que ces multiples rediffusions me lassèrent un peu, surtout qu’entre temps, tout un tas de « suites » virent le jour, comme Homo SapiensLe Sacre de l’HommeToumaï et même L’Odyssée de la Vie, elles aussi multi-diffusées sur le service public au fil des ans. Pourtant, si lassitude il y eut, mon intérêt pour ce documentaire (et pour les autres par ailleurs) ne faiblit pas comme j’ai put le remarquer après l’avoir revu une énième fois, chose que je n’avais pas faite depuis un bon bout de temps. Bien évidement, l’effet de surprise s’est depuis longtemps envolé, mais même ainsi, au bout de deux décennies et de moult rediffusions, il est incontestable, selon moi, que L’Odyssée de l’Espèce n’a rien perdu de son intérêt. Bien entendu, si le format choisis alors s’éloigne des reportages scientifiques auxquels on est habituer en temps normal, pour être tout a fait franc, les concepteurs de L’Odyssée de l’Espèce n’ont rien inventer, se contentant de s’inspirer de ce que la BBC avait fait, par exemple, avec leur célèbre Sur la Terre des Dinosaures sortit quelques années plus tôt : documentaire diviser en plusieurs parties, chacune consacrée a une période donnée et, bien évidement, a l’un de nos ancêtres, scènes de vie, théâtralisation des événements importants comme, par exemple, la découverte du feu, celle de la pierre taillé, et voix off narrative qui nous donne a la fois quelques informations sur les événements en cour comme sur ce que l’on voit a l’écran. Mais n’y voyez rien là aucun manque d’originalité mais plutôt la reprise d’une formule qui a fait ses fruits et a ce propos, il est indéniable que Jacques Malaterre a fait là un superbe travail de réalisateur. Bien évidement, les mauvaises langues se sont tout de même fait entendre, un peu de la même manière que dans le cas de Sur la Terre des Dinosaures : tout cela n’était que de la spéculation, personne, actuellement, n’a la certitude que les événements se sont déroulés ainsi, quant a la caution scientifique d’Yves Coppens (mais il n’était pas seul sur ce coup là), on n’en viendrait presque a lui trouver beaucoup a redire, certains mettant en cause ses compétences… mal, accessoirement, bien français que de rejeter ce qui vient de chez soit et de s’extasier sur les autres et après l’on s’étonnes que nos « cerveaux » trouvent du travail ailleurs ? Mais bon, quoi qu’il en soit, comme c’est également le cas pour Sur la Terre des Dinosaures, disons nous bien qu’un documentaire comme L’Odyssée de l’Espèce est à prendre avant tout pour ce qu’il est, c'est-à-dire, un concentré des connaissances du moment (que de nouvelles découvertes pourront dans l’avenir contredire), une extrapolation d’événements qui ont eu lieu il y a une éternité et dont, avouons le, un flou total continuera a planer et, surtout, un formidable travail de vulgarisation scientifique, et cela me semble le plus important : comment croyez vous que le simple quidam accroche a un reportage où un type barbu au milieu de son chantier de fouilles va nous parler pendant une demi heure de toutes les hypothèses possible et inimaginables sur la façon dont l’Homo Erectus taillait ses silex alors que dans L’Odyssée de l’Espèce, la question est réglée en deux minutes ? Réducteur, simpliste ? Non, éducatif car tous ne sont pas capables ou ne veulent même pas entendre parler de reportages scientifiques et si des documentaires comme L’Odyssée de l’Espèce permettent d’attirer un nouveau public, c’est tant mieux ! La connaissance, toujours la connaissance, et pour le plus grand nombre, c’est cela qui compte, et quand en plus, la qualité est au rendez vous, que demande le peuple ?
 

Points Positifs
 :
- Sans nul doute le meilleur documentaire consacré à la Préhistoire réalisé en France. Ne possédant pas les moyens de la BBC, force est de constater que France Télévision s’en sort à merveille et nous livre un documentaire qui nous entraine dans un fantastique voyage dans le passé, à la découverte de nos ancêtres.
- Une réalisation de qualité et qui nous captive très rapidement : il faut dire que c’est un véritable régal que de suivre les diverses tranches de vies de nos lointains ancêtres, les voir évoluer, petit à petit, souffrir, faire des découvertes, nous ressembler de plus en plus, etc.
- Le coté instructif de la chose, qui est, il faut l’admettre, indéniable ! Ainsi, que vous soyez un spécialiste ou un néophyte, L’Odyssée de l’Espèce ne pourra que vous plaire.
- Le premier volet, accessoirement, d’une longue série qui, qualitativement parlant, mérite également le détour…
 
Points Négatifs :
- Bien entendu, le temps ayant fait son œuvre : L’Odyssée de l’Espèce commence à accuser son age pour ce qui est des effets spéciaux.
- Depuis, quelques découvertes plus récentes sont venues remettre en causes certaines des affirmations de ce documentaire, mais bon, ce n’est pas anormal…
 
Ma note : 8,5/10

mercredi 28 février 2024

Civilization 2


Civilization 2
 
Civilization 2 place le joueur à la tête d'une nation virtuelle en compétition avec un maximum de six autres civilisations. Chaque joueur doit faire prospérer son peuple sur les plans économiques, scientifiques, politiques, militaires et diplomatiques ; ses décisions influeront de façon déterminante sur le résultat de la partie, et le conduiront à l'échec (le joueur est éliminé ou abdique) ou vers la victoire. Pour suivre l'évolution de sa civilisation, le joueur dispose de conseillers (qui l'informent de l'état de ses villes, de sa situation militaire, de sa situation diplomatique, de la satisfaction de son peuple, et de ses performances commerciales et scientifiques), de rapports (qui l'informent des merveilles déjà construites, des cinq plus grandes villes du monde, du score de sa civilisation et de ses performances relatives comparées à celles des autres civilisations ainsi que de la carte du monde connu.
 

Civilization 2
Éditeur : Activision
Développeur : MicroProse, LTI Gray Matter
Concepteur : Michael Haire, Brian Reynolds
Musique : Jeff Briggs, Kevin Manthei
Date de sortie : 29 janvier 1999
Pays d’origine : Etats-Unis
Genre : Jeu de Stratégie au tour par tour
Mode de jeu : Solo, Multijoueur
Média : CD
Contrôle : Manette
Plate-forme : Playstation
 
Mon avis :
 Alors que nous approchons à grand pas de la fin de ce mois de février et, pour la petite histoire, de la fin du second mois d’existence du Journal de Feanor, j’ai décidé, afin de conclure en beauté mes critiques des jeux Playstation, de mettre en avant un soft qui, en toute franchise, est complètement différent de ce que les joueurs consoles ont l’habitude de jouer. Celui-ci, vous l’avez compris, est un certain Civilization 2 et, ma foi, un quart de siècle plus tard, force est de constater que je ne l’ai pas oublié, bien au contraire. Il faut dire que la franchise Civilization est, sans nul doute, une des plus connues des joueurs PC et que, à l’époque, cette adaptation console fut, à mes yeux, comme étant une véritable bénédiction. Imaginez donc un soft dont le concept est de prendre une civilisation humaine de ses tous débuts, c’est-à-dire, il y a des milliers d’années avec les prémices de l’agriculture et de, années après années, siècles après siècles, l’amener jusqu’à notre époque actuelle en faisant tout ce qui est possible pour que celle-ci soit la plus puissante, la plus influente, bref, qu’elle brille de mille feux vis-à-vis de toutes les autres. Chose peut aisée, j’en conviens, mais nullement impossible pour un jeu de stratégie au tour par tour où il faut prendre en compte les ressources naturelles, la construction des villes et autres infrastructures diverses, des fameuses unités allant du simple paysan au soldat aguerri sans oublier, bien entendu, les fameuses Merveilles du Monde qui nous sont bien utiles. Bien évidement, il faudra prendre en compte nos voisins, noué des alliances avec certains, en conquérir d’autres, faire la guerre, faire la paix, être plus retord que tout ce petit monde qui, d’une façon ou d’une autre, nous mettra des bâtons dans les roues… Un concept génial que celui que possède ce Civilization ? Certes mais destiné, avant tout, a un certain public, il faut le reconnaitre. Quand a cette adaptation console d’un jeu avant tout destiné au PC ? Disons que, dans l’ensemble, elle reste correcte ou, du moins, aussi bonne que cela pouvait être possible au vu de la différence, à l’époque, entre les deux plateformes… Alors oui, Civilization 2 fut, a mes yeux, un superbe jeu, quelque chose de totalement différent et qui m’aura entrainé a la conquête du monde, conquête, au demeurant, oh combien passionnante. Le temps, depuis, a passer, bien entendu, mais bon, je n’ai guère oublier ce jeu, au point même que je ne peux pas m’empêcher de me dire que, un jour ou l’autre, je ne me décide finalement a me replonger dans la franchise dans une version nettement plus moderne… mais ceci sera une toute autre histoire…
 

Points Positifs
 :
- Prendre une civilisation au tout début du Néolithique, la faire se développer, agrandir son territoire, créer des Merveilles, devenir influant, puissant, conquérir ses voisins plus faibles, remporter des grandes batailles et, au final, devenir la civilisation la plus puissante au monde… Vaste programme et concept génial !
- Une prise en main finalement assez simple une fois que l’on a compris ce qu’il faut faire pour améliorer sa civilisation et qui nous entraine pour une partie interminable mais oh combien captivante.
- Agriculture, art de la guerre, diplomatie, architecture, etc. Nombreux sont les paramètres à prendre en compte afin de faire de notre civilisation la plus puissante de toutes !
- Un choix assez varié de civilisations même si on en reste aux principales.
- Le plaisir de pouvoir jouer à Civilization 2 sur console !
- La bande originale est assez simple mais je ne l’ai jamais oubliée – il faut dire que quand on se coltine sans arrêt le même morceau pendant des heures et des heures, difficile de se le sortir de la tête, même un quart de siècle plus tard…
 
Points Négatifs :
- Il n’était pas évidant, à l’époque, de porter un tel jeu sur Playstation et si le résultat est convenable, il faut reconnaitre qu’il y a pas mal de ralentissements, surtout au fur et a mesure que l’on avance dans la partie…
- Les joueurs PC dédaigneront, probablement, cette version console qui reste inférieure au jeu original.
Civilization est un jeu tellement particulier qu’il ne convient pas au grand public qui risque très rapidement de s’ennuyer ferme et d’abandonner dès les premières minutes…
 
Ma note : 8,5/10

Soul Blade


Soul Blade
 
Une arme a traversé les âges et s'est abreuvée des âmes et de la souffrance de ses innombrables victimes. Cette arme, c'est Soul Edge. Pour beaucoup, il s'agit de l'arme ultime, ou d'une épée salvatrice mais pour ceux qui sont dans le vrai, il s'agit d'une épée maudite qui dévore autant l'âme de ses victimes que de ses porteurs. Mais au fil des siècles, Soul Edge devint une légende et au XVIe siècle, elle disparut. Le marchand d'armes italien, Vercci, engagea de nombreux mercenaires pour explorer les terres à sa recherche et des pirates pour explorer les mers, puis le marchand disparut… Mais un de ces pirates, le capitaine Cervantes de Leon, mit la main sur Soul Edge avant de disparaître à son tour. Vingt ans se sont écoulés mais de nombreux guerriers sont toujours à sa poursuite. Certains la poursuivent pour la puissance, d'autres pour le salut…
 

Soul Blade
Éditeur : Namco
Développeur : Namco
Concepteur : Hiroaki Yotoriyama
Musique : Masumi Itō, Takanori Otsuk
Date de sortie : 20 décembre 1996
Pays d’origine : Japon
Genre : Combat
Mode de jeu : Solo, Multijoueur
Média : CD
Contrôle : Manette
Plate-forme : Playstation
 
Mon avis :
 Dans ma critique de Tekken 3, je vous avais signalé que je n’étais pas un grand fan des jeux de combats, estimant, selon moi, que le genre, aussi sympathique soit-il, a toujours eu énormément de mal a se renouveler et que, en dehors de quelques titres, ici et là, la plupart des softs ne sont que de vulgaires copies de leurs prédécesseurs. Bien entendu, on pourrait dire la même chose d’autres genres comme la fameuse saga des FIFA ou, dans un sens plus large, des jeux de sports ou de courses en général. Mais bon, de temps en temps, un jeu a put me marquer et si Tekken 3, sans aucune discussion possible, a fait parti de ceux-là, a juste titre, un certain Soul Blade, lui aussi de Namco, mérite que je m’y attarde. Bon, la première chose qui saute aux yeux lorsque l’on se penche sur ce Soul Blade c’est que celui-ci accuse terriblement son âge. Plus ancien que Tekken 3, il est indéniable que, graphiquement, il en est fort loin. Cependant, si je vous parle de Soul Blade aujourd’hui, c’est qu’il a bien des qualités et, justement, là où ce soft réussit à se démarquer de la masse, c’est par le fait, assez simple d’ailleurs, que, dans celui-ci, nous n’avons pas affaire a des experts en arts martiaux mais a des guerriers (et guerrières) qui, a coup d’épée, de lances ou de haches, vont s’affronter dans un tournoi – prétexte traditionnel du genre. Bref, de l’originalité dans un genre qui ne brille pas particulièrement par cette qualité, ce qui, ma foi, est une fort bonne chose ! Et si l’on ajoute a cela le savoir faire habituel de Namco et des protagonistes, dans l’ensemble, assez charismatiques – pas de pandas ou de kangourous ici – et l’on obtient, au final, un jeu qui n’est certes pas un chef d’œuvre mais qui se démarque suffisamment de la concurrence pour marquer les esprits. Quand a la suite, elle s’écrira sous un autre nom – SoulCalibur, cela vous dit quelque chose – et sur une autre génération de console, ce qui, par ailleurs, tombe fort bien puisque le mois prochain, après de très nombreuses critiques vidéoludiques consacrées à la PlayStation, je passerai à la PS2, ce qui, bien entendu, me permettra de revenir sur la suite de Soul Blade
 

Points Positifs
 :
- Pas d’experts en arts martiaux dans Soul Blade mais des combattants a l’arme blanche, ce qui est franchement original – remettons nous dans le contexte de l’époque – et nous offre une expérience vidéoludique un peu différente de ce a quoi on était habituer dans le genre jeux de combats.
- Un casting assez réussi et riche de pas mal de protagonistes charismatiques. Qui plus est, comme ils ne sont pas nombreux, cela nous évite de nous coltiner des personnages comiques comme dans Tekken 3, chose qui ne plait pas forcément a tout le monde.
- Suivant les armes que possèdent les personnages, cela nous offre un large panel de styles de combats différents.
 
Points Négatifs :
- Malheureusement, Soul Blade est un jeu qui accuse non seulement son age mais qui, déjà à l’époque, n’était pas forcément le plus beau. Par comparaison, Tekken 3 lui était nettement supérieur…
- Comme tout bon jeu de combat qui se respecte, Soul Blade possède les qualités et les défauts du genre et, s’il faut bien évidement apprécier le genre pour accrocher a ce soft, disons qu’il ne faut pas jouer en solo, sinon, au bout d’un moment, on en a rapidement fait le tour…
 
Ma note : 7,5/10

Tekken 3


Tekken 3
 
À la fin du King of Iron Fist Tournament 2, Heihachi Mishima réussit à battre Kazuya Mishima et le jeta dans un volcan. Après avoir repris le contrôle de la Mishima Zaibatsu, il créa les Tekken Forces, une unité armée surentrainée qui devait parcourir le monde pour mettre fin aux famines et aux guerres. Le résultat fut superbe : la plupart des guerres et famines s’arrêtèrent. Mais un jour, une troupe de Tekken Forces disparut mystérieusement dans un ancien temple mexicain. Un témoin affirma qu'il s'agissait d'une créature à la peau verte et aux yeux brillants qui avait détruit les Tekken Forces. Cette créature était un ancien dieu Mexicain : Toshin, le Dieu du combat. Autrement appelée Ogre, cette créature se nourrit d'âmes fortes, et parcourt le monde pour aller s'en nourrir. Il fit donc des ravages et en tua beaucoup. Heihachi se dit qu'il pouvait utiliser la puissance d'Ogre. 15 ans après Tekken 2, un jeune homme se présenta à Heihachi comme son petit-fils : Jin Kazama, fils de Kazuya Mishima et de Jun Kazama. Jin lui expliqua qu'une créature à la peau verte avait tué sa mère. Cette dernière lui avoua son identité avant de mourir. Heihachi lui apprit le Karaté style Mishima dans le but de se venger et 4 ans plus tard, soit 19 ans après le Tekken 2, Jin devint un véritable expert de ce style de combat. Heihachi put lancer le King of Iron Fist Tournament 3, toutes les âmes fortes qui participeront au tournoi, dont Jin Kazama, serviront d’appât pour Ogre.
 

Tekken 3
Éditeur : Namco
Développeur : Namco
Concepteur : Masamichi Abe, Yutaka Kounoe
Musique : Yū Miyake, Minamo Takahashi
Date de sortie : 26 mars 1997
Pays d’origine : Japon
Genre : Combat
Mode de jeu : Solo, Multijoueur
Média : CD
Contrôle : Manette
Plate-forme : Playstation
 
Mon avis :
 Je ne vais pas vous mentir, je n’ai jamais été un grand fan de jeux de combats, pourtant, du temps de la Playstation, j'ai eu l’occasion d’en essayer quelques uns  qui m'avaient presque réconcilié avec le genre. Il faut dire que cette console fut, à mes yeux, celle qui m’offrit le plus grand nombre de jeux de qualité et, accessoirement, de styles différents. De même, je dois reconnaitre que, à l’époque, je disposais de nettement plus de temps libre pour assouvir ma passion vidéoludique, chose qui n’est plus vraiment le cas depuis. Et donc, parmi ces fameux jeux de combats, si je ne devais en retenir qu’un seul, il est indéniable que ce serait Tekken 3. Attirer que j’étais alors, a la toute fin des années 90, par diverses pubs dans la chaine Game One et moult bonnes critiques a son sujet, je n’avais guère tardé, poussé par la curiosité, a m’essayer a ce soft et, ma foi, disons que je ne l’ai nullement regretté. Il faut dire que, en se remettant dans le contexte de l’époque, Tekken 3 fut, en quelque sorte, le meilleur jeu de combat de la Playstation : troisième volet d’une franchise assez connue, il représentait l’aboutissement des volets précédents avec tout un tas d’améliorations graphiques, bien entendu, mais également pour ce qui était de la jouabilité, assez simple dans l’ensemble. Ajoutons à cela un renouvèlement assez conséquent du casting et de nombreux protagonistes franchement charismatiques – sans oublier d’autres plus ubuesques d’apparence – et l’on obtenait, au final, un soft oh combien jouissif et qui, pour ma part, me fit passer de bons, que dis-je, de très bon moments ! La suite, fatalement, fut moins somptueuse sur PS2 puis sur les autres consoles qui suivirent, un peu comme si, ce troisième volet de Tekken aurait représenté l’aboutissement d’une saga qui ne pourrait plus se renouveler par la suite, mais bon, pour les souvenirs que ce jeu m’aura laisser et pour ses combats endiablés, je ne pouvais, décidément pas, ne pas vous parler de Tekken 3
 

Points Positifs
 :
- Indéniablement, le meilleur volet de toute la saga Tekken et, accessoirement, sans nul doute le jeu de combat le plus aboutit de la Playstation. Il faut dire que, ici, dans le genre, bien entendu, tout est parfait, ou presque et que rarement un soft de combat m’aura laissé une aussi bonne impression tout en me marquant durablement.
- Le casting, d’une richesse peu commune, est l’une des grandes forces de ce troisième volet de Tekken : un renouvèlement conséquent vis-à-vis des volets précédents, tout un tas de protagonistes charismatiques – Hwoarang, Eddy Gordo, Tiger Jackson – d’autres plus comiques – King, Panda, Mokujin – et possédant chacun des styles particuliers.
- Des styles de combats variés qui nous offraient des affrontements souvent palpitants.
- Graphiquement, pour l’époque, Tekken 3 était un soft de toute beauté.
 
Points Négatifs :
- Cela reste un jeu de combat, avec les qualités et les défauts du genre et, justement, si l’on joue en solo, on risque très rapidement de s’ennuyer tellement  tout cela est fait pour que l’on prenne davantage de plaisir a deux…
- Il me faut reconnaitre que j’ai débuté la saga Tekken par ce troisième volet, alors, peut-être ne suis-je pas aussi objectif que je devrais l’être ?!
 
Ma note : 8/10

mardi 27 février 2024

NHL 98


NHL 98
 
Grâce à NHL 98 sur Playstation, les fans de hockey peuvent vivre l'intégral de la saison 1998 du championnat en compagnie de toutes les équipes et de tous les joueurs. Plusieurs niveaux de difficulté et modes de jeu sont proposés. Contrairement à ce qu'il se fait dans la plupart des jeux de sport, lorsque l'on parcourt une saison, on ne choisit pas une équipe mais les matches que l'on veut disputer à chaque journée.
 

NHL 98
Éditeur : EA Canada
Développeur : Electronic Arts
Concepteur : Ken Sayler
Musique : Jeff van Dyck
Date de sortie : 31 août 1997
Pays d’origine : Etats-Unis
Genre : Hockey sur glace
Mode de jeu : Solo, Multijoueur
Média : CD
Contrôle : Manette
Plate-forme : Playstation
 
Mon avis :
 Restons dans le sport puisque, après vous avoir parlé de FIFA 99, il est temps d'aborder le cas d'un certain NHL 98. Quittons donc le football pour le hockey sur glace, ses patinoires et ses stars de la NHL qui est, pour celles et ceux qui ne le sauraient pas, le championnat nord américain de la discipline, ce, pour un soft qui, en toute franchise, un quart de siècle plus tard, m’a tellement marquer et enthousiasmer que je le considère toujours comme étant un de mes jeux préférés, du moins, pour ce qui est de la catégorie sport. Il faut dire, pour la petite histoire, qu’a la fin des années 90, je suivais avec assiduité la NHL, n’hésitant pas à me lever en pleine nuit afin de voir des rencontres à la télé. Une autre époque, bien évidement, où je connaissais toutes les stars ainsi que les meilleures équipes de la NHL et où des événements comme les Jeux Olympiques d'Hiver avaient, à mes yeux, une importance capitale ! Forcément, NHL 98 puis ses suivants y furent pour beaucoup, je ne le nie pas, mais quel plaisir j’ai put avoir de me prendre en main mon équipe préférée, les New York Rangers – qui avait dans ses rangs, alors, un Wayne Gretzky en fin de carrière – et de, bien évidement, ne pas remporter la Coupe Stanley puisque, a ce petit jeu là, encore plus que dans FIFA, mon frère était bien plus doué que moi et que le sort de mes infortunés Rangers était un peu conforme a la réalité, c’est-à-dire, bien plus de défaites que de victoires… Enfin, peu importe, NHL 98, malgré ma maladresse légendaire m’apporta bien plus de joies que de déception et, ne serais-ce que pour les bons souvenirs qu’il m’a laissé, je ne pouvais pas, bien entendu, ne pas vous en parler, et puis, en écrivant cette critique, je ne peut pas m’empêcher de me dire : mais pourquoi, un quart de siècle plus tard, ne pas me replonger dans le hockey sur glace avec un NHL sur PS5 !?
 

Points Positifs
 :
- Mon jeu de hockey sur glace préféré de tous les temps. Certes, je sais parfaitement que je ne suis pas le moins du monde objectif en disant cela mais bon, NHL 98 en fut pas le seul soft de hockey que j’ai eu, cependant, c’est celui qui m’aura le plus marquer, ce qui, je pense, signifie qu’il n’était pas dénué de qualités…
- En se remettant dans le contexte de l’époque, les graphismes peuvent être qualifiés de corrects, quand a l’ambiance des matchs endiablés de la NHL, ma foi, disons qu’ils sont parfaitement bien retranscrits et qu’on s’y croirait.
- On a peut-être un peu tendance à l’oublier mais, dans la seconde moitié des années 1990, que de stars dans la NHL : entre un Gretzky en fin de carrière, un Lemieux sur le retour mais aussi Hasek, Jágr, Forsberg, Lindros et beaucoup d’autres, il y avait de quoi faire !
- Bien entendu, on peut faire notre propre championnat de la NHL et, éventuellement, comme moi, perdre avec les New York Rangers…
 
Points Négatifs :
- Les puristes pointeront, à juste titre, le coté un peu trop arcade de ce soft et estimeront que la franchise aura fait bien des progrès sur le coté simulation par la suite, et, ma foi, ils n’ont sans doute pas tort.
- Bien évidement, NHL 98 accuse terriblement son âge, c’est un fait. Mais bon, dans mon cas, c’est le coté nostalgie qui fonctionne à fond !
- Mais pourquoi je n’arrivais pas à remporter la Coupe Stanley avec les Rangers !?
 
Ma note : 7,5/10