Formula 1 97
Formula
1 97
Alors
que Michael Schumacher et Jacques Villeneuve sont au coude-à-coude pour le
titre de Champion du Monde, Bizarre Creations en profite pour
sortir Formula 1 97, un an après l'apparition de cette licence.
L'univers de la F1 revient donc sur votre console pour des courses endiablées,
des retournements de situations incroyables, et des saisons palpitantes.
Formula 1 97
Éditeur
: Psygnosis
Développeur
: Bizarre
Creations
Concepteur
: Stu
Ellis, Tim Browne
Musique
: Stu
Ellis, Tim Browne
Date
de sortie : 26 septembre 1997
Pays
d’origine : Grande Bretagne
Genre
: Course
de F1
Mode
de jeu : Solo, Multijoueur
Média : CD
Contrôle : Manette
Plate-forme
: Playstation
Mon
avis : Poursuivons du coté des jeux de
voitures avec un certain Formula 1 97, un soft qui, comme vous
l’avez sans nul doute compris, est une simulation de Formule 1. Pour la petite
histoire, celui-ci fut mon tout premier jeu du genre et, accessoirement, le
seul qui m’aura suffisamment marqué pour que, près d’un quart de siècle plus
tard, j’ai eu envie de vous en parler – après tout, les volets suivants se
contentèrent de reprendre les mêmes ficelles en se contentant de mettre à jour les
pilotes, les voitures et d’infimes améliorations graphiques, bref, un peu comme
tout bon jeu de sport qui se respecte, l’exemple le plus parlant étant, bien
évidement, la saga des FIFA. Pour la petite histoire, à l’époque,
je reconnais que j’étais un fan de Formule 1, ma passion datant des années 80
et des légendaires duels entre Ayrton Senna et Alain Prost, du coup, j’avais
donc pour habitude de suivre avec assiduité chaque grand prix. Bien entendu, le
fait que les retransmissions de F1 étaient gratuites en ces années là y étaient
naturellement pour quelque chose – comme pour le football d’ailleurs, eh oui,
il fut un temps où le sport était gratuit, c’était le bon vieux temps – et donc,
par la force des choses, je ne pouvais pas passer a coté d’un jeu de Formule 1,
chose faite avec l’acquisition de ce fameux Formula
1 97. Il fait dire que, en dehors du fait que Jacques Villeneuve – alors
champion cette année là – brillait par son absence, remplacer qu’il était par
un pilote anonyme – saleté d’affaire de droits – tout le reste est parfait ou
presque : les autres pilotes étaient au rendez vous, les voitures
également, les grands prix correspondaient au calendrier du championnat du
monde, graphiquement, pour l’époque, c’était plus que convenable, quant a la
jouabilité, disons que celle-ci convenait parfaitement a un non spécialiste des
jeux de course comme moi. Bref, un bon jeu de Formule 1 à mes yeux et qui, surtout, m’aura fait passer de très
bons moments, surtout que, n’appréciant guère l’infortuné Schumacher à
l’époque, je ne me privais jamais de le mettre dehors lors de chaque course et
ce, en m’en sortant quasiment à chaque fois… Comment cela, je n’étais pas très
fair-play !? Certes, mais bon, ça me gonflait déjà de le voir remporter
grands prix sur grands prix pour que, en plus, il vienne le faire sur
console !
Points
Positifs :
-
Un excellent jeu de Formule 1. Il faut dire que nous retrouvons, ici, tout ce
qui faisait la saveur de la F1 de l’époque, c’est-à-dire, les pilotes, les
diverses écuries, l’intégralité des grands prix, les commentateurs, etc. Bref,
de quoi satisfaire les fans de ce sport.
-
Dans l’ensemble, les grands prix étaient assez conformes a leurs homologues
réels, ce qui était un plus indéniable et il était amusant de regarder une
course de F1 à la télé et de se souvenir de ce que l’on avait fait a tel
virage, etc.
-
En se remettant dans le contexte de l’époque, graphiquement, Formula 1
97 s’en sort plutôt bien.
-
Un soft qui n’est pas destiné aux spécialistes purs et durs de jeux de course
automobile. Bref, les bras cassés dans mon genre étaient aux anges !
Points
Négatifs :
- Pour
une vulgaire affaire de droits d’images, l’absence de Jacques Villeneuve,
remplacé ici par le fameux… Pilote numéro 1 !
-
Les puristes, bien entendu, regretteront le coté un peu trop arcade de ce
soft – oui, Formula 1 97 n’était pas une simulation pure
et dure, il faut le reconnaitre…
Ma
note : 7,5/10
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