Tekken 3
Tekken
3
À
la fin du King of Iron Fist Tournament 2, Heihachi Mishima réussit à battre
Kazuya Mishima et le jeta dans un volcan. Après avoir repris le contrôle de la
Mishima Zaibatsu, il créa les Tekken Forces, une unité armée surentrainée qui
devait parcourir le monde pour mettre fin aux famines et aux guerres. Le
résultat fut superbe : la plupart des guerres et famines s’arrêtèrent. Mais un
jour, une troupe de Tekken Forces disparut mystérieusement dans un ancien
temple mexicain. Un témoin affirma qu'il s'agissait d'une créature à la peau
verte et aux yeux brillants qui avait détruit les Tekken Forces. Cette créature
était un ancien dieu Mexicain : Toshin, le Dieu du combat. Autrement appelée
Ogre, cette créature se nourrit d'âmes fortes, et parcourt le monde pour aller
s'en nourrir. Il fit donc des ravages et en tua beaucoup. Heihachi se dit qu'il
pouvait utiliser la puissance d'Ogre. 15 ans après Tekken 2, un
jeune homme se présenta à Heihachi comme son petit-fils : Jin Kazama, fils de
Kazuya Mishima et de Jun Kazama. Jin lui expliqua qu'une créature à la peau
verte avait tué sa mère. Cette dernière lui avoua son identité avant de mourir.
Heihachi lui apprit le Karaté style Mishima dans le but de se venger et 4 ans
plus tard, soit 19 ans après le Tekken 2, Jin devint un véritable
expert de ce style de combat. Heihachi put lancer le King of Iron Fist
Tournament 3, toutes les âmes fortes qui participeront au tournoi, dont Jin
Kazama, serviront d’appât pour Ogre.
Tekken 3
Éditeur
: Namco
Développeur
: Namco
Concepteur
: Masamichi
Abe, Yutaka Kounoe
Musique
: Yū
Miyake, Minamo Takahashi
Date
de sortie : 26 mars 1997
Pays
d’origine : Japon
Genre
: Combat
Mode
de jeu : Solo, Multijoueur
Média : CD
Contrôle : Manette
Plate-forme
: Playstation
Mon
avis : Je ne vais pas vous mentir, je
n’ai jamais été un grand fan de jeux de combats, pourtant, du temps de la Playstation,
j'ai eu l’occasion d’en essayer quelques uns qui m'avaient presque réconcilié
avec le genre. Il faut dire que cette console fut, à mes yeux, celle qui
m’offrit le plus grand nombre de jeux de qualité et, accessoirement, de styles
différents. De même, je dois reconnaitre que, à l’époque, je disposais de
nettement plus de temps libre pour assouvir ma passion vidéoludique, chose qui
n’est plus vraiment le cas depuis. Et donc, parmi ces fameux jeux de combats,
si je ne devais en retenir qu’un seul, il est indéniable que ce serait Tekken
3. Attirer que j’étais alors, a la toute fin des années 90, par diverses
pubs dans la chaine Game One et moult bonnes critiques a son
sujet, je n’avais guère tardé, poussé par la curiosité, a m’essayer a ce soft
et, ma foi, disons que je ne l’ai nullement regretté. Il faut dire que, en se remettant
dans le contexte de l’époque, Tekken 3 fut, en quelque sorte,
le meilleur jeu de combat de la Playstation : troisième volet
d’une franchise assez connue, il représentait l’aboutissement des volets
précédents avec tout un tas d’améliorations graphiques, bien entendu, mais
également pour ce qui était de la jouabilité, assez simple dans l’ensemble.
Ajoutons à cela un renouvèlement assez conséquent du casting et de nombreux
protagonistes franchement charismatiques – sans oublier d’autres plus ubuesques
d’apparence – et l’on obtenait, au final, un soft oh combien jouissif et qui,
pour ma part, me fit passer de bons, que dis-je, de très bon moments ! La
suite, fatalement, fut moins somptueuse sur PS2 puis sur les
autres consoles qui suivirent, un peu comme si, ce troisième volet de Tekken aurait
représenté l’aboutissement d’une saga qui ne pourrait plus se renouveler par la
suite, mais bon, pour les souvenirs que ce jeu m’aura laisser et pour ses
combats endiablés, je ne pouvais, décidément pas, ne pas vous parler de Tekken
3…
Points
Positifs :
-
Indéniablement, le meilleur volet de toute la saga Tekken et,
accessoirement, sans nul doute le jeu de combat le plus aboutit de la Playstation.
Il faut dire que, ici, dans le genre, bien entendu, tout est parfait, ou
presque et que rarement un soft de combat m’aura laissé une aussi bonne
impression tout en me marquant durablement.
-
Le casting, d’une richesse peu commune, est l’une des grandes forces de ce
troisième volet de Tekken : un renouvèlement conséquent vis-à-vis
des volets précédents, tout un tas de protagonistes charismatiques – Hwoarang,
Eddy Gordo, Tiger Jackson – d’autres plus comiques – King, Panda, Mokujin – et
possédant chacun des styles particuliers.
-
Des styles de combats variés qui nous offraient des affrontements souvent
palpitants.
-
Graphiquement, pour l’époque, Tekken 3 était un soft de toute
beauté.
Points
Négatifs :
- Cela
reste un jeu de combat, avec les qualités et les défauts du genre et,
justement, si l’on joue en solo, on risque très rapidement de s’ennuyer
tellement tout cela est fait pour que l’on prenne davantage de
plaisir a deux…
-
Il me faut reconnaitre que j’ai débuté la saga Tekken par ce
troisième volet, alors, peut-être ne suis-je pas aussi objectif que je devrais
l’être ?!
Ma
note : 8/10
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