Assassin's
Creed 2 Desmond
est face à des inscriptions étranges écrites en sang sur le mur de sa chambre
qu'il voit grâce à sa vision d'aigle.
Lucy entre et lui demande de rentrer à nouveau dans l'Animus. Il assiste alors
à la naissance d'un certain Ezio Auditore da Firenze. Les deux fuient ensuite
rapidement le bâtiment d'Abstergo. Arrivé à un entrepôt qui semble être la
cachette des Assassins, Lucy explique qu'elle voudrait avoir Desmond dans leur
camp. Elle lui propose de s'entraîner rapidement grâce à l'effet secondaire de
l'Animus qui lui permettra d'acquérir l'expérience d'Ezio, son ancêtre. Desmond
accepte et rencontre le reste de l'équipe : Rebecca Crane qui s'occupe de
l'Animus 2.0 des Assassins, et Shaun Hastings, tacticien et historien
sarcastique. Desmond ne tarde pas à rentrer dans la machine et se retrouve donc
à Florence, en 1476, dans la peau d'Ezio, un jeune noble séducteur de dix-sept
ans. On découvre sa famille, sa petite amie et ses ennemis. Un jour, sa famille
est accusée de trahison, victime d'une conjuration. Son père et ses deux frères
sont exécutés devant ses yeux. Il doit quitter la ville avec sa mère et sa
sœur, se réfugiant dans le village de Monteriggioni où son oncle Mario tient
une villa. Il lui révèle que le jeune homme est un Assassin, tout comme son
père qui a été tué par les Templiers. Il débute alors sa quête de vengeance
contre ceux qui ont tué les membres de sa famille.
Assassin's Creed 2 Éditeur
:Ubisoft Développeur
:Ubisoft
Montréal Concepteur
: Patrice
Désilets, Jade Raymond Musique
: Jesper
Kyd Date
de sortie : 17 novembre 2009 Pays
d’origine : Canada Genre
: Action-aventure,
Infiltration Mode
de jeu : Un joueur, multijoueur Média : Blu-ray Contrôle : Manette Plate-forme
:PS3
Mon
avis : Après vous avoir proposé la
critique de Assassin's
Creed, je me dois de vous
faire une confidence et reconnaitre que ce fut par le biais du second volet de
la saga culte de chez Ubisoft que j’ai véritablement découvert cette
dernière. La chose peut paraitre pour le moins singulière, aux yeux de
certains, pourtant, je n’en n’étais pas a mon coup d’essai et, au cours de ma
vie de gamer, cela m’était déjà arrivé avec Tomb
Raider 2 ou God
of War 2, pour ne citer que les deux exemples les plus évidents. Bien
entendu, cela importe peu, disons juste que, par la force des choses, cela m’aura
fait découvrir ces mêmes premiers épisodes, fatalement moins aboutis que leurs prédécesseurs,
par la suite et, comme chacun sait, ce sont toujours les premières fois qui
marquent les esprits. Quoi qu’il en soit, pour en revenir a cet Assassin's Creed 2, si, à l’époque, j’en
avais entendu le plus grand bien et que je savais par avance que celui-ci était
un grand jeu, je dois reconnaitre que je ne m’attendais pas le moins du monde a
ce que celui-ci soit aussi bon. Liberté totale ou presque, sentiment
d’immersion comme au bon vieux temps (je parle de certains grands jeux de
l’époque bénie de la première Playstation), graphismes tout
bonnement somptueux et grandioses avec ces villes comme Florence et Venise tout
bonnement monumentales, sublimement bien reconstituées et où l’on prenais un
plaisir certain à parcourir de long en large, scénario de folie et captivant au
possible, apparition de toute une foule de personnages historiques, ce qui ne pouvait
que ravir un amoureux de l’Histoire comme moi, bref, avec cet Assassin’s
Creed 2, les superlatifs me manquaient et les qualités de celui-ci étaient
telles qu’il me serait fastidieux de toutes les nommées. J’ajouterais même que,
avec Assassin’s Creed 2, j’atteignais enfin une autre dimension
vidéoludique, j’avais enfin ce que je voulais. Tenez, un simple exemple :
cette liberté quasi-totale ! Mais quel plaisir de faire ce que l’on voulait,
de se balader ou bon nous semblait, de jouer les touristes dans des villes
comme Florence, Venise, de parcourir la campagne Romagne, de monter à cheval,
prendre des gondoles, grimper sur les toits et jouer les casses cous, se mêler
a la foule, de jour, de nuit, mais aussi, de constater que telle église ou
monument que l’on a escalader avant de réaliser un spectaculaire saut de la foi existait bel et bien,
que quelque part, c’était presque comme si l’on avait effectué un voyage dans
le temps et que l’on se retrouvait dans cette magnifique Italie de la
Renaissance ! Mais Assassin’s Creed2, ce fut également un scénario en béton, un scénario avec un
protagoniste principal, Ezio Auditore, bonne petite tête a claque au début avec
ses nombreux « Va benne » mais qui, assez rapidement
et au fil du déroulement de l’intrigue, prenais une sacrée consistance et s’avéra
être, au final, charismatique en diable. Un scénario dont le postulat de
départ, la vengeance, était loin d’être original, certes, mais qui s’avéra diablement
bien ficelé et plein de rebondissements, surtout que les auteurs du jeu ne s’étaient
pas privés pour nous en faire voire des vertes et des pas mures : survol
de Venise sur une aile volante fabriquée par Léonard de Vinci, séquences a
la Prince of Persia afin de retrouver l’armure du héros du
premier volet, missions diverses et variées avec tout un tas de possibilités
pour y parvenir, énigmes à gauche et à droite et bien sûr, en trame de fond,
cette lutte sans fin contre les Templiers qui vous mènera même jusqu’au Vatican
avec cette conclusion, stupéfiante de par son contenu, qui en aura surpris plus
d’un ! Bref, vous l’avez compris, je n’ai pas aimé Assassin’s
Creed 2, je l’ai adoré ! Alors bien sûr, ce dernier date déjà de
2009 et certains pourront sourire en me voyant m’extasier pour un jeu qui n’est
plus tout jeune et accuse depuis longtemps son âge, mais peu importe, un grand
jeu, ça n’a pas d’âge, surtout que là, ce n’est même pas un grand jeu mais
quasiment un chef d’œuvre ! Comment, j’exagère ? Sincèrement, pour le
concept, l’histoire, les graphismes et le personnage principal, je pense que
non. Quand a la saga en elle-même, avec ce second volet, force est de
constater que Ubisoft avait fait
fort, très fort même, sublimant de fort belle manière l’excellence du premier
épisode. Il est tout de même dommage que la suite, elle, connu quelques hauts
et pas mal de bas, mais bon, bien entendu, ceci fut une autre histoire…
Points
Positifs : - Le
meilleur volet de la saga Assassin’s Creed et je pèse mes
mots ! Il faut dire que, après un premier épisode
sympathique, original, mais assez répétitif, les petits gars de
chez Ubisoft nous ont pondus ce que l’on peut bel et bien
appeler le jeu parfait, ou presque. En effet, non seulement toutes les bonnes
idées du premier opus sont reprises ici mais en étant améliorées, de plus,
entre une jouabilité au top, les protagonistes charismatiques et le coté
historique de la chose, il y a de quoi ravir les gamers les plus exigeants. -
Graphiquement, pour l’époque, Assassin’s Creed 2 est une pure
merveille, quand a la reconstitution de Florence et de Venise, époque
Renaissance, en toute sincérité, c’est une belle réussite. D’ailleurs, pour
avoir visité ces deux villes, je peux vous assurer que, par moments, au gré de
mes déambulations, je reconnaissais certains passages du jeu ! -
Le postulat de départ peut paraitre un peu léger, voir bancal, cependant, au
fur et a mesures que s’écoulent les heures, on prend conscience de la
profondeur d’un scénario qui, ma foi, est une pure réussite et nous
transportera de plaisir pendant des dizaines et des dizaines d’heures. -
Même chose pour Ezio au départ du jeu, que l’on prend pour une vulgaire tête à
claque, pourtant, là aussi, au bout de quelques heures, on se rend compte que
le bougre est bien plus charismatique qu’on pouvait le penser et il apparait,
au final, comme étant le héros le plus réussi de la saga ! -
Les amateurs d’Histoire, bien entendu, seront aux anges devant ce soft qui les
transportera en pleine Renaissance, dans les puissantes Citées Etats
Italiennes… Points
Négatifs : -
Je n’ai jamais été fan de l’un des concepts de base de la saga, c’est-à-dire,
ces allers retours dans le temps. Franchement, quel dommage que l’on se soit
coltiner cette idée bancale d’Animus… -
Les gentils assassins et les méchants templiers. Mais oui, bien sur, là aussi,
voilà un postulat de départ bien débile ! Ma
note :9/10
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