Tomb
Raider – Underworld Lara
commence son voyage sur son yacht. Un ami de son défunt père, Richard Croft,
l'a informé que ce dernier pensait que la mère de Lara était à Avalon. Selon
cet ami, Avalon se situerait en Méditerranée. Lara plonge donc dans les abysses
et découvrent d'anciennes constructions sous-marines. Lorsqu’elle émerge à
l'intérieur, Lara comprend que ces constructions sont en fait celle de
Niflheim, l'équivalent nordique d'Avalon. Plus loin, Lara se retrouve face à un
Kraken et parvient à le tuer en lui faisant tomber dessus une coupole
gigantesque. Le kraken affaissé libère un couloir et Lara trouve une statue de
Thor et l'un des gantelets du dieu. Avant qu'elle puisse repartir, des
mercenaires au service d'Amanda arrivent, l'assomment et repartent avec le
gantelet. Lara parvient à remonter à la surface et à monter sur le cargo
d'Amanda. À l'intérieur, Lara retrouve Natla qui lui apprend que là où le père
de Lara croyait la mère de Lara, à Niflheim, c'est en réalité à Helheim qu'elle
se trouve. Elle ajoute que le second gantelet est en Thaïlande. Il s'ensuit un
combat qui voit le cargo sombrer et Lara se rendre en Thaïlande.
Tomb Raider – Underworld Éditeur
:Eidos
Interactive Développeur
:Crystal
Dynamics Concepteur
: Eric
Lindstrom, Toby Gard Musique
: Colin
O'Malley, Troels Folmann Date
de sortie : 21 novembre 2008 Pays
d’origine : Royaume-Uni Genre
: plate-forme,
action, aventure Mode
de jeu : Un joueur Média : Blu-Ray Contrôle : Manette Plate-forme
:PlayStation
3
Mon
avis : Quelques temps après avoir acquis
ma PS3, j’eu la fort bonne idée de me procurer, enfin, le neuvième volet de ce qui est l’une des sagas vidéoludiques les plus importantes de ces
trente dernières années, je veux, bien entendu, parler de Tomb Raider.
Intitulé Underworld, celui-ci était alors le tout premier volet
paru sur PS3 et même si, avec du recul, il faut reconnaitre que celui-ci ne
restera pas dans les annales comme étant un grand cru, il n’en possédait pas
moins certaines qualités qui en auront fait, malgré tout, un bon volet de la saga
Tomb Raider. Il faut dire, déjà, que,
en se remettant dans le contexte de l’époque, bien entendu, rien que pour le
plaisir visuel, ce neuvième volet des aventures de Lara méritait le détour. Ainsi,
entre certains décors immenses et magnifiques, des effets de lumières plutôt
réussis et une animation pour le moins correcte, de ce coté là, l’amateur
de Tomb Raider était aux anges. Ensuite, dès le début de l’aventure,
le joueur est rapidement mis dans le bain puisque, contrairement aux pires
volets en date de la saga qui, au passage, avaient faillit tuer celle-ci, ici,
nous avons affaire a un Tomb Raider sans la moindre surprise,
ce qui n’est pas plus mal, et qui reste dans la lignée de ses prédécesseurs, je
veux, bien entendu, parler de Legend et Anniversary,
tous deux encensés par la critique lors de leurs sortis sur PS2.
Ainsi, entre les nombreux niveaux à traverser, les temples en ruines à
explorer, les divers pièges et autres énigmes, comment ne pas être en terrain familier
tout en nous rappelant ce qui fit tout le sel de la saga lors des débuts de celle-ci ?
Cependant, c’est là aussi que, finalement, se trouve le problème de ce huitième
volet. Ainsi, malgré des qualités indéniables et un certain retour aux sources
pour le moins salutaire, Underworld s’était contenter, un peu trop,
selon moi, de copier pour la énième fois une recette qui fonctionnait, certes, mais
qui n’apportait, finalement pas grand-chose d’original a une saga qui,
jusque-là, se reposait un peu trop sur ses lauriers. Et si l’on ajoute à cela
le fait que Underworld était tout de
même un poil trop court et que, malheureusement, les traditionnels bugs de la saga
étaient au rendez vous et vous comprendrez, aisément, pourquoi cet épisode qui
aurait put être excellent, pour un Tomb Raider, j’entends bien, n’aura été, au
final, que correct…
Points
Positifs : -
Après pas mal d’errements et certains épisodes que l’on peut qualifier sans
peine de rater, Underworld est,
indéniablement, un bon Tomb Raider et
même s’il n’est pas parfait et qu’il ne tient pas vraiment la comparaison avec
une concurrence de plus en plus importante, ce soft possède suffisamment d’atouts
pour satisfaire les vieux fans de Lara. - Pour
mon premier Tomb Raider sur PS3, force est de
constater que, visuellement parlant, ce dernier est une belle réussite, en
particulier pour ce qui est des décors, certains d’entre eux étant, tout
bonnement, magnifiques. -
Il est désormais fort loin l’époque où la maitrise de Lara était loin d’être
évidente puisque, ici, c’est un vrai régal que de déambuler avec l’aventurière. -
Les différents niveaux traversés, même s’ils ne sont pas très nombreux, n’en
restent pas moins comme étant plutôt réussis et, surtout, variés, ce qui est
une bonne nouvelle. -
Nous avons droit à quelques énigmes pour le moins tordues et qui nous rappelleront
les heures de gloire de la saga. -
La moto apporte un plus indéniable et nous rappellera le bon vieux temps du second
et du troisième
volet où nous avions déjà eu droit a des véhicules et quelques gamelles
légendaires. Points
Négatifs : -
Malheureusement, et à croire qu’il s’agit d’une malédiction de la saga, les
habituels bugs de Tomb Raider sont, une fois de plus, au
rendez-vous et à moult reprises, vous aurez la surprise de voir Lara rentrer
dans un mur. -
Si, graphiquement parlant, ce soft est plutôt une belle réussite, je pense
qu’un petit travail sur Lara n’aurait pas été superflu vu qu’elle ressemble davantage
à une poupée, sa peau n’ayant pas l’air naturelle… -
En toute sincérité, il faut reconnaitre que le scénario est un peu
bancal et que, dans la saga, nous avons eu droit a des synopsis un poil
plus aboutis. -
Ils nous manquent un peu les Tyrannosaures des premiers volets de la saga. - Underworld est,
malheureusement, un poil trop court selon moi, ou alors, trop facile ? Ma
note :7,5/10
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